
Selon le journaliste consultant, « en Benjamin Nettayahou, l'Etat Hébreu tient un dur à cuir, un praticien autant qu'un rhétoricien du réalisme en relations internationales. De la realpolitik. Du recours aux moyens de coercition les plus violents et sournois pour se venger et subjuguer son adversaire, Benjamin dit Bibi, contrairement à la douceur de son surnom, n'est pas un tendre, un enfant de chœur, qui tend l'autre joue. Lui se venge, froidement, cyniquement, impitoyablement... »
Concernant, la crise politique qui sévit en Gambie avec Jammeh qui conteste les résultats de l’élection présidentielle et le conflit dormant en Casamance, Adama Gaye invite l’Etat du Sénégal à rester vigilant vis-à -vis de Nettayahou.
« On peut s'attendre non seulement à ce qu'il attise le brasier déjà incandescent de la Gambie, mais rallume celui dormant de la Casamance, verrouille les milieux financiers, médiatiques et politiques surtout aux USA maintenant qu'ils passent aux mains d'extrémistes conservateurs, sous la conduite du supermaciste Trump. Il n'est même pas impossible qu'il jette des boules puantes en direction des dirigeants Sénégalais pour exposer leurs méfaits », alerte Adama Gaye et d’ajouter : « La question est, d'une part, de savoir si en portant la Résolution 2334 la diplomatie sénégalaise en avait mesuré toutes les implications, et, de l'autre, si elle a les reins solides pour les assumer et y faire face ».
Concernant, la crise politique qui sévit en Gambie avec Jammeh qui conteste les résultats de l’élection présidentielle et le conflit dormant en Casamance, Adama Gaye invite l’Etat du Sénégal à rester vigilant vis-à -vis de Nettayahou.
« On peut s'attendre non seulement à ce qu'il attise le brasier déjà incandescent de la Gambie, mais rallume celui dormant de la Casamance, verrouille les milieux financiers, médiatiques et politiques surtout aux USA maintenant qu'ils passent aux mains d'extrémistes conservateurs, sous la conduite du supermaciste Trump. Il n'est même pas impossible qu'il jette des boules puantes en direction des dirigeants Sénégalais pour exposer leurs méfaits », alerte Adama Gaye et d’ajouter : « La question est, d'une part, de savoir si en portant la Résolution 2334 la diplomatie sénégalaise en avait mesuré toutes les implications, et, de l'autre, si elle a les reins solides pour les assumer et y faire face ».