Revenant ensuite sur un ton plus sérieux, l’ancien président de la Raddho invite le Premier ministre à aller au bout de sa logique : « Qu’il adopte la loi qu’il promet, interdisant les financements étrangers pour la société civile. Ce serait une bonne chose. »
Alioune Tine rejette l’idée que l’argent soit le moteur de son engagement : « Il pense que c’est l’argent qui nous intéresse, mais il se trompe. À Afrika Jom Center, on a fonctionné trois ans sans financement, sans sous. Ce n’est pas l’argent qui nous fait exister. Avec ce qu’on gagne dans la consultance, on fonctionne mieux et on est plus efficace.
Alioune Tine rejette l’idée que l’argent soit le moteur de son engagement : « Il pense que c’est l’argent qui nous intéresse, mais il se trompe. À Afrika Jom Center, on a fonctionné trois ans sans financement, sans sous. Ce n’est pas l’argent qui nous fait exister. Avec ce qu’on gagne dans la consultance, on fonctionne mieux et on est plus efficace.