Le chroniqueur de la Tfm, Badara Gadiaga, sera jugé le 4 décembre 2025. Son dossier a été enrôlé par la Chambre d'accusation à cette date, à la suite de la requête du Procureur général contre l'ordonnance du Doyen des juges, rapporte "PressAfrik".
Les avocats de Badara Gadiaga avaient introduit une demande de liberté provisoire, à la suite de l'audition dans le fond de leur client, a rappelé le journal "Libération" dans sa parution de ce jeudi. Ainsi, les robes noires avaient sollicité le parquet, qui avait émis un avis favorable mais le juge était passé outre, en accordant à Badara Gadiaga, une liberté provisoire sous le régime du bracelet électronique. Le parquet général avait alors fait appel, avant que le dossier ne soit transmis à la Chambre d'accusation pour arbitrage, indique la même source.
Pour rappel, le chroniqueur avait été placé sous mandat de dépôt, mi-juillet 2025, pour "diffusion de fausses nouvelles, discours contraires aux bonnes mœurs et offense à une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du Président mais aussi réception, sollicitation ou acceptation de dons, présents ou subsides en vue de mener une propagande susceptible de compromettre la sécurité publique". Autant lors de son interrogatoire à la Division Spéciale de Cybersécurité (Dsc) que durant son audition au fond pendant l'instruction, le chroniqueur avait contesté les faits.
Les avocats de Badara Gadiaga avaient introduit une demande de liberté provisoire, à la suite de l'audition dans le fond de leur client, a rappelé le journal "Libération" dans sa parution de ce jeudi. Ainsi, les robes noires avaient sollicité le parquet, qui avait émis un avis favorable mais le juge était passé outre, en accordant à Badara Gadiaga, une liberté provisoire sous le régime du bracelet électronique. Le parquet général avait alors fait appel, avant que le dossier ne soit transmis à la Chambre d'accusation pour arbitrage, indique la même source.
Pour rappel, le chroniqueur avait été placé sous mandat de dépôt, mi-juillet 2025, pour "diffusion de fausses nouvelles, discours contraires aux bonnes mœurs et offense à une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du Président mais aussi réception, sollicitation ou acceptation de dons, présents ou subsides en vue de mener une propagande susceptible de compromettre la sécurité publique". Autant lors de son interrogatoire à la Division Spéciale de Cybersécurité (Dsc) que durant son audition au fond pendant l'instruction, le chroniqueur avait contesté les faits.







