
En effet en ce qui concerne le Programme de Développement Durable du Pastoralisme dans le Sahel la BID apporte un financement de 30,79 millions de dollars américains, soit près de 18 milliards de FCFA.
Ainsi ce programme profitera directement à près de 550.000 pasteurs et agro-pasteurs dans les régions de Saint-Louis, Matam, Louga, Kaffrine, et Tambacounda.
Entre autres composantes de ce programme, on peut relever, on peut lire dans le document : « le développement des infrastructures du pastoralisme et gestion des ressources naturelles, l’amélioration des chaînes de valeur des bovins et des petits ruminants, l’accès à la finance islamique et l’appui au renforcement des capacités institutionnelles et organisationnelles. »
Quant à l’avenant relatif au Projet du TER, une impérieuse nécessité a milité pour la réallocation des ressources financées par la BID et qui seront principalement réaffectées à la composante Infrastructure du Projet.
En effet cette composante comprendra désormais la conception, la construction et l’installation d'une double piste, de l'infrastructure ferroviaire et de toutes les structures reliant la Ville de Dakar à Diamniadio dans la phase I.
En outre, « l’infrastructure comprend également la construction de ponts et structures associées, les travaux de drainage et d'assainissement, la construction de toutes les composantes : rails standard et métriques, la conception et la construction des installations d'entretien pour l'infrastructure et le matériel roulant, ainsi que les travaux de protection de l'environnement. Ce financement prendra en charge, accessoirement, d’autres volets notamment le contrôle et la qualité des travaux, ainsi l’audit financier et comptable », lit-on dans le document.
Au demeurant le portefeuille de coopération entre le Sénégal et la BID, déjà composé de 28 projets, s’enrichit d’un nouveau programme qui porte le montant global de son portefeuille à 1 685 millions de dollars US, soit près de 960 milliards de FCFA.
Ainsi ce programme profitera directement à près de 550.000 pasteurs et agro-pasteurs dans les régions de Saint-Louis, Matam, Louga, Kaffrine, et Tambacounda.
Entre autres composantes de ce programme, on peut relever, on peut lire dans le document : « le développement des infrastructures du pastoralisme et gestion des ressources naturelles, l’amélioration des chaînes de valeur des bovins et des petits ruminants, l’accès à la finance islamique et l’appui au renforcement des capacités institutionnelles et organisationnelles. »
Quant à l’avenant relatif au Projet du TER, une impérieuse nécessité a milité pour la réallocation des ressources financées par la BID et qui seront principalement réaffectées à la composante Infrastructure du Projet.
En effet cette composante comprendra désormais la conception, la construction et l’installation d'une double piste, de l'infrastructure ferroviaire et de toutes les structures reliant la Ville de Dakar à Diamniadio dans la phase I.
En outre, « l’infrastructure comprend également la construction de ponts et structures associées, les travaux de drainage et d'assainissement, la construction de toutes les composantes : rails standard et métriques, la conception et la construction des installations d'entretien pour l'infrastructure et le matériel roulant, ainsi que les travaux de protection de l'environnement. Ce financement prendra en charge, accessoirement, d’autres volets notamment le contrôle et la qualité des travaux, ainsi l’audit financier et comptable », lit-on dans le document.
Au demeurant le portefeuille de coopération entre le Sénégal et la BID, déjà composé de 28 projets, s’enrichit d’un nouveau programme qui porte le montant global de son portefeuille à 1 685 millions de dollars US, soit près de 960 milliards de FCFA.