Faba Senghor dénonce la forme de son exclusion et écarte l'éventualité d'un retour car "tirant les enseignements de tout ce qui s'est passé pendant les 40 ans que nous sommes restés avec le Président Wade, tous ceux qui ont quitté le PDS et qui sont revenus, ont perdu leur aura et leur place dans le parti".
L'ancien chargé de propagande du PDS s'active désormais autour de son mouvement "Mbolom Wade" pour dit-il tracer son chemin et perpétuer l'héritage de Wade. Pour cela dit-il, il travaille à la confection d'une liste pour participer aux prochaines élections législatives. "Nous avons décidé de mettre en place une entente politique avec tous ceux qui sont dans le PDS et qui sont soucieux de l'héritage du Président Abdoulaye Wade et de le préserver dans le temps. Donc, il faut réunir tous ceux qui sont soucieux de l'oeuvre d'Abdoulaye Wade et de sa pérennisation. Nous irons à la conquête des suffrages des électeurs aux prochaines élections législatives".
Farba Senghor pointe encore un doigt accusateur sur Karim Wade qui serait à l'origine des difficultés actuelles que traverse le PDS. "Ce que j'ai remarqué, c'est que depuis que Karim Wade est devenu grand, qu'il a commencé à mettre la main dans le fonctionnement de l'Etat du Sénégal dirigé par son père et dans le fonctionnement du parti, Abdoulaye Wade, les responsables et les militants ont tout perdu et même le pouvoir.
Karim Wade a poussé son père à se séparer de plusieurs hauts fonctionnaires et de ministres qui étaient très compétents pour laisser la place aux membres du groupe qu'il avait formé, la Génération du Concret. L'opposition de l'époque en a profité pour dire que qu'il y a un processus de dévolution monarchique de Wade à son fils, et c'est ce qui nous a fait perdre en 2012", analyse Farba Senghor qui soutient mener la bataille pour préserver l'héritage politique de Wade. Il renchérit,"Karim Wade a choisi son homme qui est Omar Sarr, encadré par un trotskiste, d'anciens socialistes et d'anciens conservateurs et les fils du PDS qui sont formés dans les écoles du parti, ont tous été écartés. Donc, le problème actuel du PDS, c'est effectivement Karim Wade, il a préféré un béni oui-oui comme Omar Sarr à notre place".
Sa conviction est que pour le moment, le PDS ne dispose pas d'un leader capable de le mener pour répondre aux aspirations des populations. A ceux qui le soupçonnent de travailler pour le Président Macky Sall, Farba Senghor dégage en touche. "C'est impossible, je crois que ça, personne ne l'a dit sérieusement. Je suis le mieux placé pour avoir de bonnes relations avec Macky Sall et les membres du gouvernement, c'est moi qui ait favorisé l'entrée de Macky Sall dans le système politique de Wade après 2000. Personne ne peut me reprocher d'être de connivence avec le régime. Moi, je me bats pour l'héritage d'Abdoulaye Wade et ils le savent", soutient-il.
Sur la gestion de l'Etat du Président Macky Sall, Farba Senghor considère que "Macky Sall est un mauvais élève de Wade dans la mesure où il a été trop influencé par les dinosaures du régime socialiste qui sont autour de lui Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng", tout en dénonçant " la violation des règles élémentaires de la démocratie".
source: vox populli
L'ancien chargé de propagande du PDS s'active désormais autour de son mouvement "Mbolom Wade" pour dit-il tracer son chemin et perpétuer l'héritage de Wade. Pour cela dit-il, il travaille à la confection d'une liste pour participer aux prochaines élections législatives. "Nous avons décidé de mettre en place une entente politique avec tous ceux qui sont dans le PDS et qui sont soucieux de l'héritage du Président Abdoulaye Wade et de le préserver dans le temps. Donc, il faut réunir tous ceux qui sont soucieux de l'oeuvre d'Abdoulaye Wade et de sa pérennisation. Nous irons à la conquête des suffrages des électeurs aux prochaines élections législatives".
Farba Senghor pointe encore un doigt accusateur sur Karim Wade qui serait à l'origine des difficultés actuelles que traverse le PDS. "Ce que j'ai remarqué, c'est que depuis que Karim Wade est devenu grand, qu'il a commencé à mettre la main dans le fonctionnement de l'Etat du Sénégal dirigé par son père et dans le fonctionnement du parti, Abdoulaye Wade, les responsables et les militants ont tout perdu et même le pouvoir.
Karim Wade a poussé son père à se séparer de plusieurs hauts fonctionnaires et de ministres qui étaient très compétents pour laisser la place aux membres du groupe qu'il avait formé, la Génération du Concret. L'opposition de l'époque en a profité pour dire que qu'il y a un processus de dévolution monarchique de Wade à son fils, et c'est ce qui nous a fait perdre en 2012", analyse Farba Senghor qui soutient mener la bataille pour préserver l'héritage politique de Wade. Il renchérit,"Karim Wade a choisi son homme qui est Omar Sarr, encadré par un trotskiste, d'anciens socialistes et d'anciens conservateurs et les fils du PDS qui sont formés dans les écoles du parti, ont tous été écartés. Donc, le problème actuel du PDS, c'est effectivement Karim Wade, il a préféré un béni oui-oui comme Omar Sarr à notre place".
Sa conviction est que pour le moment, le PDS ne dispose pas d'un leader capable de le mener pour répondre aux aspirations des populations. A ceux qui le soupçonnent de travailler pour le Président Macky Sall, Farba Senghor dégage en touche. "C'est impossible, je crois que ça, personne ne l'a dit sérieusement. Je suis le mieux placé pour avoir de bonnes relations avec Macky Sall et les membres du gouvernement, c'est moi qui ait favorisé l'entrée de Macky Sall dans le système politique de Wade après 2000. Personne ne peut me reprocher d'être de connivence avec le régime. Moi, je me bats pour l'héritage d'Abdoulaye Wade et ils le savent", soutient-il.
Sur la gestion de l'Etat du Président Macky Sall, Farba Senghor considère que "Macky Sall est un mauvais élève de Wade dans la mesure où il a été trop influencé par les dinosaures du régime socialiste qui sont autour de lui Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng", tout en dénonçant " la violation des règles élémentaires de la démocratie".
source: vox populli