
Aujourd’hui, personne ne porte ce statut de leader de l’opposition. Pire, ce manteau est devenue une chape de plomb qui a fait pousser des germes d’une dangereuse pandémie qui pourrait être même fatale à l’opposition… à quelques encablures des Législatives de juillet 2017 et de la Présidentielle de 2019.
Comme disait l’autre, "cette foule qui ne sait pas faire foule » et «on s'en rend compte...», Manko Wattu Senegaal manque d’unité et de fermeté politique.
L’opposition n’a pas de gouvernail. Elle n’a pas aussi d’amiral. C’est juste une armée mexicaine qui se livre à une contestation désordonnée que le « Général » Macky Sall a matée le 14 octobre dernier, avant de disperser le regroupement avec l’audience du 1er décembre dernier qui a jeté les bases de l’implosion de Manko Wattu Senegal.
Le seul argument, sur lequel, les opposants sont tous d’accord, c’est d’éjecter Macky Sall en 2019. Pour le reste, c’est un flot de contradictions dans une mer d’interrogations aussi bien dans l’élaboration du discours politique que la matérialisation des actions à mener.
Cette opposition est un bateau ivre qui tangue dans la mer politique sénégalaise. Malgré leur volonté, elle ne pose pas d’actes forts pouvant déstabiliser le pouvoir actuel. Le seul coup d’éclat qu’elle a essayé a été la marche du 14 octobre réprimée avec force et mépris. Si Abdoul Mbaye a été suffoqué par le gaz lacrymogène, Decroix et Oumar Sarr se sont rapidement retrouvés à l’Assemblée nationale. Malick Gakou était resté sur le terrain pour mener une résistance symbolique.
Malgré tout ce courage en bandoulière de l’activiste Malick Gakou et la ténacité de Mamadou Diop «Decroix» et d’Oumar Sarr, Manko Wattu Senegaal a été snobé, lors de cette audience présidentielle du 1er décembre, par Malick Gakou, parti en France, Ousmane Sonko, Idrissa Seck et Abdoul Mbaye qui ne sont pas allés au Palais.
Seuls Oumar Sarr et Mamadou Diop «Decroix» représentaient les figures de proue de cette opposition qui s’est accordée avec Macky Sall de tenir les élections législatives le 2 juillet 2017.
En vérité, l’audience avec Macky Sall a mis à nu toute la grande cacophonie au sein de Manko Wattu Senegaal. Une vraie tour de Babel où personne ne comprend le langage de l’autre, avec notamment le Pr Malick Ndiaye qui incarne actuellement la branche dissidente au sein de Manko Wattu Senegaal. Dans la lucidité et le pragmatisme, mieux vaut partir chacun de son côté et attendre le deuxième tour pour faire des alliances crédibles. Mais, dans ce bric à bac qui est le véritable leader de l’opposition ?
Comme disait l’autre, "cette foule qui ne sait pas faire foule » et «on s'en rend compte...», Manko Wattu Senegaal manque d’unité et de fermeté politique.
L’opposition n’a pas de gouvernail. Elle n’a pas aussi d’amiral. C’est juste une armée mexicaine qui se livre à une contestation désordonnée que le « Général » Macky Sall a matée le 14 octobre dernier, avant de disperser le regroupement avec l’audience du 1er décembre dernier qui a jeté les bases de l’implosion de Manko Wattu Senegal.
Le seul argument, sur lequel, les opposants sont tous d’accord, c’est d’éjecter Macky Sall en 2019. Pour le reste, c’est un flot de contradictions dans une mer d’interrogations aussi bien dans l’élaboration du discours politique que la matérialisation des actions à mener.
Cette opposition est un bateau ivre qui tangue dans la mer politique sénégalaise. Malgré leur volonté, elle ne pose pas d’actes forts pouvant déstabiliser le pouvoir actuel. Le seul coup d’éclat qu’elle a essayé a été la marche du 14 octobre réprimée avec force et mépris. Si Abdoul Mbaye a été suffoqué par le gaz lacrymogène, Decroix et Oumar Sarr se sont rapidement retrouvés à l’Assemblée nationale. Malick Gakou était resté sur le terrain pour mener une résistance symbolique.
Malgré tout ce courage en bandoulière de l’activiste Malick Gakou et la ténacité de Mamadou Diop «Decroix» et d’Oumar Sarr, Manko Wattu Senegaal a été snobé, lors de cette audience présidentielle du 1er décembre, par Malick Gakou, parti en France, Ousmane Sonko, Idrissa Seck et Abdoul Mbaye qui ne sont pas allés au Palais.
Seuls Oumar Sarr et Mamadou Diop «Decroix» représentaient les figures de proue de cette opposition qui s’est accordée avec Macky Sall de tenir les élections législatives le 2 juillet 2017.
En vérité, l’audience avec Macky Sall a mis à nu toute la grande cacophonie au sein de Manko Wattu Senegaal. Une vraie tour de Babel où personne ne comprend le langage de l’autre, avec notamment le Pr Malick Ndiaye qui incarne actuellement la branche dissidente au sein de Manko Wattu Senegaal. Dans la lucidité et le pragmatisme, mieux vaut partir chacun de son côté et attendre le deuxième tour pour faire des alliances crédibles. Mais, dans ce bric à bac qui est le véritable leader de l’opposition ?