
Il a toutefois reconnu et rappelé les efforts consentis par l’Etat en vue d’assurer la sécurité des populations, avec notamment l’inauguration de brigades et de commissariats à travers le territoire national.
«Le Sénégal, dit-il, est un pays où il y a de la sécurité. Vous allez aux Etats-Unis, si vous prenez le cas de Los Angeles, toutes les trois secondes il y a un crime. Nous sommes un pays en maturation, un pays en développement. Il y a naturellement beaucoup de facteurs qui militent en faveur de cette insécurité», reconnait Augustin Tine, face à la presse.
Une montée en puissance des forces de défense et de sécurité
Non sans rappeler que «le président de la République, dès son accession à la magistrature suprême, avait décidé de faire une montée en puissance des forces de défense et de sécurité. Beaucoup d’efforts ont été faits. Vous avez vu le défilé du 4 avril, le nombre de brigades que nous sommes en train d’inaugurer, vous avez vu l’organisation, que ce soit à la gendarmerie ou à la police pour qu’il y ait une nomadisation, ce qu’on appelle des patrouilles. Il y a des efforts qui ont été faits», insiste-t-il.
Le meurtre de Fatoumata Matar Ndiaye ne peut pas être mis sur le dos de l'Etat, tranche le ministre des Forces armées qui rappelle les propos de Macky Sall. «Le président appelle les Sénégalais à une introspection, à nous remettre en question par rapport à notre comportement, par rapport à ce que nous disons aux autres, à ce que nous disons aux enfants, dès l’instant que nous aurons franchi ce pas, notamment avec l’appui des chefs religieux qui ont un rôle important à jouer. L’Etat, conclut-il, ne peut pas être dans les maisons, dans les chambres.»
Seneweb
«Le Sénégal, dit-il, est un pays où il y a de la sécurité. Vous allez aux Etats-Unis, si vous prenez le cas de Los Angeles, toutes les trois secondes il y a un crime. Nous sommes un pays en maturation, un pays en développement. Il y a naturellement beaucoup de facteurs qui militent en faveur de cette insécurité», reconnait Augustin Tine, face à la presse.
Une montée en puissance des forces de défense et de sécurité
Non sans rappeler que «le président de la République, dès son accession à la magistrature suprême, avait décidé de faire une montée en puissance des forces de défense et de sécurité. Beaucoup d’efforts ont été faits. Vous avez vu le défilé du 4 avril, le nombre de brigades que nous sommes en train d’inaugurer, vous avez vu l’organisation, que ce soit à la gendarmerie ou à la police pour qu’il y ait une nomadisation, ce qu’on appelle des patrouilles. Il y a des efforts qui ont été faits», insiste-t-il.
Le meurtre de Fatoumata Matar Ndiaye ne peut pas être mis sur le dos de l'Etat, tranche le ministre des Forces armées qui rappelle les propos de Macky Sall. «Le président appelle les Sénégalais à une introspection, à nous remettre en question par rapport à notre comportement, par rapport à ce que nous disons aux autres, à ce que nous disons aux enfants, dès l’instant que nous aurons franchi ce pas, notamment avec l’appui des chefs religieux qui ont un rôle important à jouer. L’Etat, conclut-il, ne peut pas être dans les maisons, dans les chambres.»
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