Dans une déclaration rendue publique, le ministre a confirmé avoir signé l’arrêté incorporant Diender dans le périmètre urbain. La mise en service du réseau a d’ores et déjà démarré, pour un déploiement qui s’étendra sur environ six mois. Une réponse concrète à une vieille doléance des habitants de cette zone longtemps marginalisée.
Le programme prévoit la pose de 125 kilomètres de canalisations dans les localités jusque-là dépourvues d’infrastructures hydrauliques, ainsi que la construction d’un château d’eau de 1500 m³, alimenté par deux forages. Plus de 5 000 ménages bénéficieront de branchements sociaux entièrement subventionnés, soit un potentiel de 50 000 personnes desservies. Le coût global de ce projet s’élève à 2,1 milliards FCfa, financés par l’État à travers la SONES, auxquels s’ajoutent 500 millions FCfa pour la prise en charge des branchements.
En attendant la réalisation complète de ces installations, des mesures transitoires ont été prises : un forage a été creusé à Ndiar, accompagné d’une station de pompage, d’un réseau d’adduction d’eau et de vingt bornes-fontaines réparties le long de la conduite de transfert entre Thièudem et Bayakh. Ce dispositif provisoire, estimé à 600 millions FCfa, vise à soulager dès à présent, les besoins en eau des populations situées sur le tracé.
« C’est un pas de plus vers la justice et l’équité territoriale dans l’accès à l’eau potable », a déclaré le ministre, qui a salué le travail des équipes de la SONES et de Sen’Eau, tout en exprimant sa gratitude envers les populations de Diender, pour leur patience et leur résilience.
Cheikh Tidiane Dièye a également lancé un message à l’ensemble des Sénégalais confrontés à des difficultés d’accès à l’eau : « Je suis au courant de vos préoccupations et ne ménage aucun effort pour y répondre. L’eau est un droit et une ressource vitale. Nous trouverons les moyens de la rendre disponible partout, malgré les défis immenses que nous avons hérités ».
Une promesse porteuse d’espoir pour de nombreuses zones rurales, encore en attente d’un accès sécurisé et durable à l’eau potable.
Le programme prévoit la pose de 125 kilomètres de canalisations dans les localités jusque-là dépourvues d’infrastructures hydrauliques, ainsi que la construction d’un château d’eau de 1500 m³, alimenté par deux forages. Plus de 5 000 ménages bénéficieront de branchements sociaux entièrement subventionnés, soit un potentiel de 50 000 personnes desservies. Le coût global de ce projet s’élève à 2,1 milliards FCfa, financés par l’État à travers la SONES, auxquels s’ajoutent 500 millions FCfa pour la prise en charge des branchements.
En attendant la réalisation complète de ces installations, des mesures transitoires ont été prises : un forage a été creusé à Ndiar, accompagné d’une station de pompage, d’un réseau d’adduction d’eau et de vingt bornes-fontaines réparties le long de la conduite de transfert entre Thièudem et Bayakh. Ce dispositif provisoire, estimé à 600 millions FCfa, vise à soulager dès à présent, les besoins en eau des populations situées sur le tracé.
« C’est un pas de plus vers la justice et l’équité territoriale dans l’accès à l’eau potable », a déclaré le ministre, qui a salué le travail des équipes de la SONES et de Sen’Eau, tout en exprimant sa gratitude envers les populations de Diender, pour leur patience et leur résilience.
Cheikh Tidiane Dièye a également lancé un message à l’ensemble des Sénégalais confrontés à des difficultés d’accès à l’eau : « Je suis au courant de vos préoccupations et ne ménage aucun effort pour y répondre. L’eau est un droit et une ressource vitale. Nous trouverons les moyens de la rendre disponible partout, malgré les défis immenses que nous avons hérités ».
Une promesse porteuse d’espoir pour de nombreuses zones rurales, encore en attente d’un accès sécurisé et durable à l’eau potable.
