
La centrale à charbon de Bargny, objet d'une vive contestation, sera transformée au gaz à l’horizon 2023. C’est du moins ce qu’a affirmé le ministre de l’Environnement et du Développement durable, ce mardi en marge de la cérémonie de restitution du bilan du Sénégal, suite à sa participation à la COP 25 qui s’est tenue cette année à Madrid.
"Je pense qu’il faut saluer la décision du président de la République qui dit qu’il n'y aura plus de centrale à charbon au Sénégal. D’ailleurs, la centrale à charbon de Bargny sera transformée à l’horizon 2023 en centrale à gaz. Et cela va participer à la baisse de manière considérable de l’émission de carbone dans notre pays.»
Selon Abdou Karim Sall, les pays avaient demandé à ce que les programmes qui étaient initiés avant l’accord de Paris soient reversés dans l’accord. « Autant de questions qui ont suscité beaucoup de débats, mais le plus important, c’est qu’il est retenu que l’ensemble des pays, notamment dans l’accord de Paris, souhaitaient à ce qu’on baisse le niveau du réchauffement de 2 degrés à 1,5 degré », a-t-il rapporté
Toutefois, Abdou Karim Sall ne cache pas son inquiétude par rapport à l'atteinte des objectifs. « Je ne suis pas pessimiste, mais les évaluations qui ont été faites par les experts internationaux ont montré que nous sommes presque à 1,1 degré. Donc des efforts sont attendus si nous voulons atteindre l’objectif avant la fin de ce siècle ».
"Je pense qu’il faut saluer la décision du président de la République qui dit qu’il n'y aura plus de centrale à charbon au Sénégal. D’ailleurs, la centrale à charbon de Bargny sera transformée à l’horizon 2023 en centrale à gaz. Et cela va participer à la baisse de manière considérable de l’émission de carbone dans notre pays.»
Selon Abdou Karim Sall, les pays avaient demandé à ce que les programmes qui étaient initiés avant l’accord de Paris soient reversés dans l’accord. « Autant de questions qui ont suscité beaucoup de débats, mais le plus important, c’est qu’il est retenu que l’ensemble des pays, notamment dans l’accord de Paris, souhaitaient à ce qu’on baisse le niveau du réchauffement de 2 degrés à 1,5 degré », a-t-il rapporté
Toutefois, Abdou Karim Sall ne cache pas son inquiétude par rapport à l'atteinte des objectifs. « Je ne suis pas pessimiste, mais les évaluations qui ont été faites par les experts internationaux ont montré que nous sommes presque à 1,1 degré. Donc des efforts sont attendus si nous voulons atteindre l’objectif avant la fin de ce siècle ».