
L’atelier axé sur le thème : «Des syndicats forts pour combattre la pêche INN, promouvoir et renforcer le travail décent dans le secteur de la pêche», a été une aubaine pour Baïdy Sow de déclarer : «La pêche illégale tout le monde le constate aujourd’hui, il y a beaucoup de bateaux de pêche dans nos zones territoriales sans avoir obtenu l’autorisation parce que nos États n’ont pas les moyens ou n’ont pas la volonté de les contre carrer. Il y a assez de prise de pêche qui ne sontpas déclarés ou ne sont pas réglementés», a dénoncé Baïdy Sow, représentant de l’Itf pour l’Afrique francophone.
Sur ce, il ajoute que les gens ont abandonné leurs mers, d’autres viennent chez nous. Il y a une surexploitation et les ressources ne sont pas inépuisables.
«Nous sommes en face de ce problème majeur. S’il n'y a pas de ressources, il n’y a pas de secteur de la pêche. Si on ne fait pas attention, et si on ne réglemente pas la pêche, si on ne renouvelle pas la pêche, c’est sûr et certains que nos ressources vont épuiser et ça serait très grave parce que le poisson contribue beaucoup à l’alimentation de nos populations», a-til soutenu.
À l’en croire, la pêche contribue beaucoup à l’économie dans notre pays. C’était le deuxième secteur le plus important en termes d’apport de devise mais aussi de contribution au Pib. La pêche constitue un secteur de pourvoyeur d’emplois avec 600.000 emplois directs et indirects au Sénégal.
«Dans les zones de pêches, les villes et les villages la pauvreté augmente, le chômage augmente, ce qui favorise l’immigration clandestine. Donc, c’est un problème fondamental qui constitue des objectifs de ce projet», a-t-il conclu.
Tribune
Sur ce, il ajoute que les gens ont abandonné leurs mers, d’autres viennent chez nous. Il y a une surexploitation et les ressources ne sont pas inépuisables.
«Nous sommes en face de ce problème majeur. S’il n'y a pas de ressources, il n’y a pas de secteur de la pêche. Si on ne fait pas attention, et si on ne réglemente pas la pêche, si on ne renouvelle pas la pêche, c’est sûr et certains que nos ressources vont épuiser et ça serait très grave parce que le poisson contribue beaucoup à l’alimentation de nos populations», a-til soutenu.
À l’en croire, la pêche contribue beaucoup à l’économie dans notre pays. C’était le deuxième secteur le plus important en termes d’apport de devise mais aussi de contribution au Pib. La pêche constitue un secteur de pourvoyeur d’emplois avec 600.000 emplois directs et indirects au Sénégal.
«Dans les zones de pêches, les villes et les villages la pauvreté augmente, le chômage augmente, ce qui favorise l’immigration clandestine. Donc, c’est un problème fondamental qui constitue des objectifs de ce projet», a-t-il conclu.
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