Depuis cette mesure, les camions de sable doivent désormais se ravitailler à Tivaouane, Thiès et Notto, rallongeant les trajets et les coûts. Conséquence :
• Le camion 12 roues, auparavant à 90.000 FCfa, est désormais facturé 150.000 FCfa
• Le camion 16 m³, qui coûtait 55.000 FCfa, a doublé, atteignant 110.000 FCfa
Les entreprises de BTP crient à la catastrophe. Les chantiers ralentissent, certains sont à l’arrêt. Les ouvriers sont en sous-activité, et les particuliers qui construisent, voient leur budget exploser.
Selon le gouvernement, la fermeture est temporaire et vise à rétablir l’ordre dans un secteur jugé anarchique, où de nombreuses carrières fonctionnaient sans verser le moindre impôt à l’État.
Mais sur le terrain, les acteurs demandent une solution rapide. Sans quoi, c’est toute la chaîne de valeur de la construction qui risque l’effondrement.
• Le camion 12 roues, auparavant à 90.000 FCfa, est désormais facturé 150.000 FCfa
• Le camion 16 m³, qui coûtait 55.000 FCfa, a doublé, atteignant 110.000 FCfa
Les entreprises de BTP crient à la catastrophe. Les chantiers ralentissent, certains sont à l’arrêt. Les ouvriers sont en sous-activité, et les particuliers qui construisent, voient leur budget exploser.
Selon le gouvernement, la fermeture est temporaire et vise à rétablir l’ordre dans un secteur jugé anarchique, où de nombreuses carrières fonctionnaient sans verser le moindre impôt à l’État.
Mais sur le terrain, les acteurs demandent une solution rapide. Sans quoi, c’est toute la chaîne de valeur de la construction qui risque l’effondrement.