Le Sénégal a enregistré ces dernières années, le phénomène appelé la guerre des sondages. Ledit phénomène reste l’affaire d’un patron d’un Groupe de Presse, qui cherche volontairement, à attirer l’attention des annonceurs sur ses différents supports, à accrocher pour mieux tirer profit de l’offre publicitaire.
Seulement, le pot aux roses a été découvert et sa méthode comprise. N’empêche, chaque année, il persiste dans une quête infondée de positionnement pour embarquer des annonceurs qui peinent à décrypter son faux jeu.
Le trucage de la réalité des sondages, relève-t-on, dénature l’attente des annonceurs, qui misent sur l’audience des différentes radios, télévisions et autres...pour positionner leurs produits.
Ainsi, cette approche, pratiquée par ce patron de presse, loin de la réalité, trompe de manière lamentable et regrettable, la compétitivité équitable des entreprises audiovisuelles. Face à ce jeu moribond et déshonorant, les annonceurs sont avertis de l’absence de crédibilité des sondages de ce patron.
Un sondage, estime-t-on, doit suivre des régles et, être mené par des agences ou cabinets habilités, se basant sur des données d’enquêtes réélles, avant la détermination, le positionnement des supports audiovisuels étudiés. Mais, cet homme de médias, regrette-t-on, a l’habitude de s’enfermer entre quatre murs pour colporter un faux sondage. Présentement, c’est peine perdue...
Ainsi, les annonceurs avec plus d’exigences qu’autrefois, décryptent ce jeu de yo-yo à partir du feed-back de l’annonce. Arnaqués et décus, ils se détournent régulièrement, desdits supports incriminés pour mieux atteindre leurs objectifs.
Seulement, le pot aux roses a été découvert et sa méthode comprise. N’empêche, chaque année, il persiste dans une quête infondée de positionnement pour embarquer des annonceurs qui peinent à décrypter son faux jeu.
Le trucage de la réalité des sondages, relève-t-on, dénature l’attente des annonceurs, qui misent sur l’audience des différentes radios, télévisions et autres...pour positionner leurs produits.
Ainsi, cette approche, pratiquée par ce patron de presse, loin de la réalité, trompe de manière lamentable et regrettable, la compétitivité équitable des entreprises audiovisuelles. Face à ce jeu moribond et déshonorant, les annonceurs sont avertis de l’absence de crédibilité des sondages de ce patron.
Un sondage, estime-t-on, doit suivre des régles et, être mené par des agences ou cabinets habilités, se basant sur des données d’enquêtes réélles, avant la détermination, le positionnement des supports audiovisuels étudiés. Mais, cet homme de médias, regrette-t-on, a l’habitude de s’enfermer entre quatre murs pour colporter un faux sondage. Présentement, c’est peine perdue...
Ainsi, les annonceurs avec plus d’exigences qu’autrefois, décryptent ce jeu de yo-yo à partir du feed-back de l’annonce. Arnaqués et décus, ils se détournent régulièrement, desdits supports incriminés pour mieux atteindre leurs objectifs.
