Dans une publication sur le réseau social X (ex-Twitter), relayée par Tribune, Alioune Tine qualifie cette disposition « d’hérésie démocratique » et alerte sur une atteinte à la séparation des pouvoirs garantie par la Constitution du Sénégal.
Selon lui, « c'est soumettre le pouvoir judiciaire sous le contrôle d’un Parlement dominé par un parti hégémonique », une configuration qui pourrait mener vers un « régime illibéral ».
Il estime que cette réforme constituerait une grave régression démocratique et appelle à sa censure par le Conseil constitutionnel : « Cela m’étonnerait que le Conseil constitutionnel puisse l’accepter », a-t-il affirmé.
Toujours selon Tribune, Alioune Tine n’est pas seul à s’inquiéter. Le magistrat Mamadou Yakham Keïta a également exprimé ses réserves, pointant un risque de remise en cause de l’indépendance de la justice. Ce débat met en lumière une tension croissante entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire, à un moment crucial pour l’avenir institutionnel du Sénégal.
Selon lui, « c'est soumettre le pouvoir judiciaire sous le contrôle d’un Parlement dominé par un parti hégémonique », une configuration qui pourrait mener vers un « régime illibéral ».
Il estime que cette réforme constituerait une grave régression démocratique et appelle à sa censure par le Conseil constitutionnel : « Cela m’étonnerait que le Conseil constitutionnel puisse l’accepter », a-t-il affirmé.
Toujours selon Tribune, Alioune Tine n’est pas seul à s’inquiéter. Le magistrat Mamadou Yakham Keïta a également exprimé ses réserves, pointant un risque de remise en cause de l’indépendance de la justice. Ce débat met en lumière une tension croissante entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire, à un moment crucial pour l’avenir institutionnel du Sénégal.