
"La 12e législature avait promis la rupture, des réformes et une réorientation politique pour le renforcement de la démocratie. Un certain nombre d'actes politiques ont été posés, mais le problème, c'est au niveau de la réalisation. Il faut regretter qu'il n'y ait pas une nette séparation des pouvoirs.
Il y a une forte immixtion de l'Exécutif dans le Législatif. Il y a une implication, des interférences entre l'Exécution, le Judiciaire et le Législatif. Et cela crée un problème pour le renforcement de la démocratie. C'est un point sombre de la vie politique en termes d'innovation.
Donc, la rupture n'a pas eu lieu. Il y a aussi une instrumentalisation de la Justice, de telle sorte que la séparation des pouvoirs ne se ressent pas dans la pratique politique. On note également des rapports conflictuels entre la majorité et l'opposition durant pratiquement toute la législature, ce qui est dommage, au moment où on prône une démocratie majeure.
Enfin, il faut un équilibre pour garantir la démocratie. Il faut responsabiliser les parlementaires pour qu'ils puissent défendre des idées et des projets."
L'Observateur
Il y a une forte immixtion de l'Exécutif dans le Législatif. Il y a une implication, des interférences entre l'Exécution, le Judiciaire et le Législatif. Et cela crée un problème pour le renforcement de la démocratie. C'est un point sombre de la vie politique en termes d'innovation.
Donc, la rupture n'a pas eu lieu. Il y a aussi une instrumentalisation de la Justice, de telle sorte que la séparation des pouvoirs ne se ressent pas dans la pratique politique. On note également des rapports conflictuels entre la majorité et l'opposition durant pratiquement toute la législature, ce qui est dommage, au moment où on prône une démocratie majeure.
Enfin, il faut un équilibre pour garantir la démocratie. Il faut responsabiliser les parlementaires pour qu'ils puissent défendre des idées et des projets."
L'Observateur