D'aprés L'As, s’il y a un point sur lequel pouvoir et opposition semblent avoir la même position, c’est bien celui portant sur l’arrêté n°7580 du 20 juillet 2011 dit « arrêté Ousmane Ngom ». Sur questions abordées hier, celle-ci a fait l’objet de consensus. Le décret visant son abrogation sera bientôt disponible. Selon notre source, il sera inclus dans le package qui sera envoyé à l’Assemblée nationale et apparaîtra sous forme de loi. En effet, pouvoir et opposition se sont accordé sur un périmètre de sécurité qui sera délimité.
Autre question soulevée lors de ce conclave, ajoute le journal c'est le statut de l’opposition. Face à l’incapacité de l’opposition de trouver la bonne formule, il reviendra à la majorité de faire le travail. Le délais de manifester a également été au menu des discussions. Sur ce point, la majorité réclame 36 h , au moment où l’opposition tablait sur 72 h.
Vers un report des locales !
Le dernier point et non moins important qui a été au cœur des échanges demeure l’organisation des élections. Selon les derniers développement, on s’achemine tout droit vers un report du scrutin. L’opposition qui tient à tout prix à l’audit et à la révision des listes électorales risque de revoir sa copie. En effet, un tel processus nécessiterait au moins six mois de travail. C’est pratiquement le temps qui reste avant le scrutin de mars 2021. Et sous cet angle, il sera très difficile que le scrutin puisse se tenir à la date indiquée. Aucun accord n’a été trouvé et tout porte à croire que c’est le chef de l’Etat qui devra une fois de plus trancher.
Autre question soulevée lors de ce conclave, ajoute le journal c'est le statut de l’opposition. Face à l’incapacité de l’opposition de trouver la bonne formule, il reviendra à la majorité de faire le travail. Le délais de manifester a également été au menu des discussions. Sur ce point, la majorité réclame 36 h , au moment où l’opposition tablait sur 72 h.
Vers un report des locales !
Le dernier point et non moins important qui a été au cœur des échanges demeure l’organisation des élections. Selon les derniers développement, on s’achemine tout droit vers un report du scrutin. L’opposition qui tient à tout prix à l’audit et à la révision des listes électorales risque de revoir sa copie. En effet, un tel processus nécessiterait au moins six mois de travail. C’est pratiquement le temps qui reste avant le scrutin de mars 2021. Et sous cet angle, il sera très difficile que le scrutin puisse se tenir à la date indiquée. Aucun accord n’a été trouvé et tout porte à croire que c’est le chef de l’Etat qui devra une fois de plus trancher.