
Au Sénégal, le béton devient un privilège. En 2024, la tonne se négociait entre 7 500 et 8 000 FCFA. Aujourd’hui, elle atteint jusqu’à 17 000 FCFA dans certaines carrières, et varie entre 12 500 et 15 000 FCFA ailleurs. Cette hausse brutale étouffe tout un pan de l’économie.
Face à cette crise, “le meuble” – en tant que voix du secteur du bâtiment – s’adresse directement au Président Bassirou Diomaye Faye :
“Wallou Nū ! Nous n’en pouvons plus ! Trop c’est trop. Le prix du béton tue nos chantiers, ruine les familles et détruit l’espoir d’un logement accessible. Monsieur le Président, le peuple vous appelle.”
Conséquences visibles :
• Chantiers à l’arrêt,
• Licenciements dans le BTP,
• Hausse du prix des loyers,
• Projets immobiliers abandonnés,
• Explosion du coût du logement.
Le secteur demande :
• Une régulation urgente du prix du béton,
• Une concertation nationale avec carriers, cimentiers et autorités,
• Un plafonnement ou un contrôle strict des prix de base.
“Wallou Nū” n’est pas un simple cri : c’est une alerte sociale.
Face à cette crise, “le meuble” – en tant que voix du secteur du bâtiment – s’adresse directement au Président Bassirou Diomaye Faye :
“Wallou Nū ! Nous n’en pouvons plus ! Trop c’est trop. Le prix du béton tue nos chantiers, ruine les familles et détruit l’espoir d’un logement accessible. Monsieur le Président, le peuple vous appelle.”
Conséquences visibles :
• Chantiers à l’arrêt,
• Licenciements dans le BTP,
• Hausse du prix des loyers,
• Projets immobiliers abandonnés,
• Explosion du coût du logement.
Le secteur demande :
• Une régulation urgente du prix du béton,
• Une concertation nationale avec carriers, cimentiers et autorités,
• Un plafonnement ou un contrôle strict des prix de base.
“Wallou Nū” n’est pas un simple cri : c’est une alerte sociale.