Depuis que la Chambre criminelle de la Cour suprême a rendu sa décision, les conseils de Khalifa Sall n’ont pas fait leur rabat d’arrêt comme ils l’avaient promis. La raison est toute simple, la défense de l’ex-maire de Dakar de Dakar n’avait pas jusque-là l’arrêt. La Haute juridiction avait un mois pour notifier par voie administrative aux parties cet arrêt. C’est maintenant chose faite.
Hier, l’arrêt a été notifié à toutes les parties. A compter de ce jour, les conseils ont un mois pour former un rabat. L’enjeu du rabat pour la défense de Khalifa Sall est de permettre à l’ex-édile de la capitale sénégalaise, de pouvoir être candidat à l’élection présidentielle.
Car, pour les avocats de Khalifa Sall, le rabat en matière pénal est suspensif ; il remet donc en course leur client pour la présidentielle. Une position battue en brèche par les avocats de l’Etat. D’ailleurs, les conseils de Khalifa Sall comptent d’ailleurs faire une conférence de presse pour éclairer la lanterne de l’opinion. La rencontre avec la presse qui était prévue pour aujourd’hui, pourrait être renvoyée jusqu’à dimanche.
Les Echos
Hier, l’arrêt a été notifié à toutes les parties. A compter de ce jour, les conseils ont un mois pour former un rabat. L’enjeu du rabat pour la défense de Khalifa Sall est de permettre à l’ex-édile de la capitale sénégalaise, de pouvoir être candidat à l’élection présidentielle.
Car, pour les avocats de Khalifa Sall, le rabat en matière pénal est suspensif ; il remet donc en course leur client pour la présidentielle. Une position battue en brèche par les avocats de l’Etat. D’ailleurs, les conseils de Khalifa Sall comptent d’ailleurs faire une conférence de presse pour éclairer la lanterne de l’opinion. La rencontre avec la presse qui était prévue pour aujourd’hui, pourrait être renvoyée jusqu’à dimanche.
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