"C’est la loi qui définit les conditions d’exercice du droit de vote. Macky Sall ne peut pas par une lettre adressée au Conseil constitutionnel, modifier les conditions que fixe la loi. Sa lettre n'a aucun sens ", fait remarquer le leader du parti Rewmi selon ses propos rapportés par L'Observateur.
«Il a envoyé son ministre de la Justice arrêter et cadenasser des adversaires politiques. Il a envoyé son ministre des Finances corrompre publiquement les citoyens et procéder à des achats de consciences. Il a procédé lui-même à des achats de consciences au vu et au su de tout le monde. Il envoie son ministre de l’Intérieur perturber le processus électoral pour lui aménager des voies de fraudes. Nous ne l’accepterons pas", insiste Idrissa Seck, qui invite Macky Sall à fournir aux citoyens les pièces indiquées dans les délais.
"Ce n’est pas d’échouer dans la distribution des cartes pour s’aménager d’autres mécanismes de fraude à travers la production de documents qui relèvent exclusivement de leur pouvoir, à eux, et où ils peuvent sélectionner des bénéficiaires comme du temps des ordonnances, où des gens en fabriquaient à la pelle pour permettre à de faux électeurs d’aller voter et bourrer des urnes. C’est ça qui est derrière ce plan", accuse-t-il.
«Il a envoyé son ministre de la Justice arrêter et cadenasser des adversaires politiques. Il a envoyé son ministre des Finances corrompre publiquement les citoyens et procéder à des achats de consciences. Il a procédé lui-même à des achats de consciences au vu et au su de tout le monde. Il envoie son ministre de l’Intérieur perturber le processus électoral pour lui aménager des voies de fraudes. Nous ne l’accepterons pas", insiste Idrissa Seck, qui invite Macky Sall à fournir aux citoyens les pièces indiquées dans les délais.
"Ce n’est pas d’échouer dans la distribution des cartes pour s’aménager d’autres mécanismes de fraude à travers la production de documents qui relèvent exclusivement de leur pouvoir, à eux, et où ils peuvent sélectionner des bénéficiaires comme du temps des ordonnances, où des gens en fabriquaient à la pelle pour permettre à de faux électeurs d’aller voter et bourrer des urnes. C’est ça qui est derrière ce plan", accuse-t-il.