Tout est parti d’une surveillance en ligne ayant permis de détecter une promotion répétée du produit pharmaceutique non autorisé nommé « EnnecoPro ». Commercialisé via les réseaux sociaux et accompagné de contenus pour adultes, ce médicament était accessible par simple appel téléphonique, en contournant les circuits de distribution officiels.
Les enquêteurs de la DSC ont été mobilisés sur instruction des autorités judiciaires. Ils ont localisé les suspects à Ouakam, où une opération a permis leur interpellation. Au cours des auditions, l’un des mis en cause a reconnu la vente de médicaments et de compléments alimentaires, tandis que son complice a été identifiée comme sa fournisseuse principale.
La perquisition de leurs domiciles a permis la saisie de plusieurs éléments probants :
• 10 ordinateurs (DELL et IIYAMA)
• 10 téléphones portables (Samsung et Tecno)
• Un dispositif de vidéosurveillance
• Un appareil SIM Box
• 15,5 millions FCfa en espèces (dont une tentative de corruption présumée)
• Un stock important de médicaments non autorisés.
Les analyses effectuées par l’Agence Sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP), ont confirmé que les produits ne bénéficiaient d’aucune autorisation de mise sur le marché et représentaient un réel danger pour la santé.
Cette affaire souligne l’urgence de renforcer les dispositifs de régulation et de surveillance de la vente de médicaments en ligne, dans un contexte où les trafiquants exploitent les outils numériques pour contourner la loi.
Les enquêteurs de la DSC ont été mobilisés sur instruction des autorités judiciaires. Ils ont localisé les suspects à Ouakam, où une opération a permis leur interpellation. Au cours des auditions, l’un des mis en cause a reconnu la vente de médicaments et de compléments alimentaires, tandis que son complice a été identifiée comme sa fournisseuse principale.
La perquisition de leurs domiciles a permis la saisie de plusieurs éléments probants :
• 10 ordinateurs (DELL et IIYAMA)
• 10 téléphones portables (Samsung et Tecno)
• Un dispositif de vidéosurveillance
• Un appareil SIM Box
• 15,5 millions FCfa en espèces (dont une tentative de corruption présumée)
• Un stock important de médicaments non autorisés.
Les analyses effectuées par l’Agence Sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP), ont confirmé que les produits ne bénéficiaient d’aucune autorisation de mise sur le marché et représentaient un réel danger pour la santé.
Cette affaire souligne l’urgence de renforcer les dispositifs de régulation et de surveillance de la vente de médicaments en ligne, dans un contexte où les trafiquants exploitent les outils numériques pour contourner la loi.