
Au plus fort de la polémique sur la panne de l'unique machine de radiothérapie, le Président Macky Sall s'est engagé en affirmant qu'au mois de juillet au plus tard, cette histoire ne serait plus qu'un mauvais souvenir.
Aujourdhui , tout porte à croire que l'ébullition du front politique qui a suivi cette polémique n'a pas entamé cette volonté de régler cette affaire de radiothérapie. Selon les informations du quotidien Vox Populi, le Président Macky Sall a pris, avant hier, mercredi un décret d'avance d'un montant de 659 millions de francs Cfa représentatif de l'apport de la Banque arabe de développement économique (Badea). Cette Banque qui a son siège à Khartoum, faisant les frais de l'embargo contre le Soudan, n'a pu débloquer le million d'euros qu'elle s'était engagée à mettre dans le projet.
Du coup, le Sénégal qui devait n'avoir qu'une modeste contribution au coût des machines (4 210 306,59 euros soit 2 766 171 430 de francs Cfa) va prendre sur lui 32% du montant soit 884 387 647 francs Cfa. En effet, les 659 millions de francs Cfa du décret d'avance viennent s'ajouter aux 225 387 647,46 francs Cfa que le Trésor avait déjà décaissés.
Outre le Sénégal et la Badea, le Fonds saoudien, le Fonds de développement de l'Opep et la Banque Islamique de développement ( Bis) sont les autres investisseurs dans ce projet. Pour montrer la ferme volonté de l'Etat d'en finir avec cette affaire en respectant les engagements pris, le Docteur Martin Treml, le patron de Vamed, la société qui vend au Sénégal les deux machines prévues pour l'hôpital Dalal Diam, a été reçu dernièrement par les autorités.
Aujourdhui , tout porte à croire que l'ébullition du front politique qui a suivi cette polémique n'a pas entamé cette volonté de régler cette affaire de radiothérapie. Selon les informations du quotidien Vox Populi, le Président Macky Sall a pris, avant hier, mercredi un décret d'avance d'un montant de 659 millions de francs Cfa représentatif de l'apport de la Banque arabe de développement économique (Badea). Cette Banque qui a son siège à Khartoum, faisant les frais de l'embargo contre le Soudan, n'a pu débloquer le million d'euros qu'elle s'était engagée à mettre dans le projet.
Du coup, le Sénégal qui devait n'avoir qu'une modeste contribution au coût des machines (4 210 306,59 euros soit 2 766 171 430 de francs Cfa) va prendre sur lui 32% du montant soit 884 387 647 francs Cfa. En effet, les 659 millions de francs Cfa du décret d'avance viennent s'ajouter aux 225 387 647,46 francs Cfa que le Trésor avait déjà décaissés.
Outre le Sénégal et la Badea, le Fonds saoudien, le Fonds de développement de l'Opep et la Banque Islamique de développement ( Bis) sont les autres investisseurs dans ce projet. Pour montrer la ferme volonté de l'Etat d'en finir avec cette affaire en respectant les engagements pris, le Docteur Martin Treml, le patron de Vamed, la société qui vend au Sénégal les deux machines prévues pour l'hôpital Dalal Diam, a été reçu dernièrement par les autorités.