Ce projet ne repose pas sur des slogans. Il s’organise méthodiquement autour de trois grandes phases déjà enclenchées :
1. Souveraineté politique retrouvée
Finie l’ère des instructions venues de l’étranger. Le Sénégal reprend sa dignité, sa voix, sa direction. L’État est repositionné comme serviteur du peuple et non des lobbies.
2. Solidarité sous-régionale renforcée
Des dynamiques inédites s’installent avec nos voisins africains, pour des coopérations mutuellement bénéfiques, dans la sécurité, l’économie, la diplomatie et la gestion des flux migratoires.
3. Transformation économique en cours
Redirection des dépenses publiques, moralisation de la gouvernance, lutte contre la corruption, revalorisation du travail et recentrage sur les priorités nationales.
Car le développement, ce n’est pas enrichir une minorité.
C’est garantir un environnement sain et équitable pour tous.
Oui, un riche dans un pays pauvre, reste vulnérable et inquiet.
Un pauvre dans un pays riche, vit dignement dans un système protecteur.
Voilà la nuance. Voilà le combat.
Un leadership collectif inédit et stratégique
Ce qui fait la force du projet Pastef aujourd’hui, c’est cette architecture gouvernante unique :
Ousmane Sonko, le visionnaire, le fondateur, l’idéologue, véritable Messie politique d’une génération trahie, incarne le courage, l’horizon et l’exigence. Il n’est pas une simple "bouche courageuse". Il est le cerveau, le cœur et la mémoire du peuple debout.
🇸🇳 Le Président Diomaye Faye, rigoureux, posé, diplomate, rétablit la verticalité de l’État, engage des relations équilibrées avec les partenaires traditionnels (FMI, Banque Mondiale, UE), mais sans jamais se courber.
Pendant ce temps, Ousmane Sonko développe une diplomatie alternative audacieuse avec les BRICS, la Chine, la Russie, le Japon, pour diversifier les alliances et sortir de la dépendance occidentale.
À la tête de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, militant de la première heure, veille à la restauration d’un débat parlementaire vivant, exigeant, et reconnecté aux préoccupations des populations.
Et au Ministère de l’Intérieur, le Général Jean-Baptiste Tine, homme de rigueur, incarne la sécurité républicaine et la restauration du respect de l’ordre sans brutalité.
Face à eux, que reste-t-il de l’ancien système APR-BBY ?
Un champ de ruines, des scandales, des deals, des fortunes volées au peuple et une obsession de nuire à la refondation en cours.
Mais le peuple a tranché.
Il a choisi un projet, pas un clan.
Une direction, pas une illusion.
Une vision patriote, pas une continuité affairiste.
Et je le dis en tant que sympathisant engagé, patriote assumé et communicant de conviction :
Moustapha Sarr
Citoyen debout pour un Sénégal souverain, équitable et fier
1. Souveraineté politique retrouvée
Finie l’ère des instructions venues de l’étranger. Le Sénégal reprend sa dignité, sa voix, sa direction. L’État est repositionné comme serviteur du peuple et non des lobbies.
2. Solidarité sous-régionale renforcée
Des dynamiques inédites s’installent avec nos voisins africains, pour des coopérations mutuellement bénéfiques, dans la sécurité, l’économie, la diplomatie et la gestion des flux migratoires.
3. Transformation économique en cours
Redirection des dépenses publiques, moralisation de la gouvernance, lutte contre la corruption, revalorisation du travail et recentrage sur les priorités nationales.
Car le développement, ce n’est pas enrichir une minorité.
C’est garantir un environnement sain et équitable pour tous.
Oui, un riche dans un pays pauvre, reste vulnérable et inquiet.
Un pauvre dans un pays riche, vit dignement dans un système protecteur.
Voilà la nuance. Voilà le combat.
Un leadership collectif inédit et stratégique
Ce qui fait la force du projet Pastef aujourd’hui, c’est cette architecture gouvernante unique :
Ousmane Sonko, le visionnaire, le fondateur, l’idéologue, véritable Messie politique d’une génération trahie, incarne le courage, l’horizon et l’exigence. Il n’est pas une simple "bouche courageuse". Il est le cerveau, le cœur et la mémoire du peuple debout.
🇸🇳 Le Président Diomaye Faye, rigoureux, posé, diplomate, rétablit la verticalité de l’État, engage des relations équilibrées avec les partenaires traditionnels (FMI, Banque Mondiale, UE), mais sans jamais se courber.
Pendant ce temps, Ousmane Sonko développe une diplomatie alternative audacieuse avec les BRICS, la Chine, la Russie, le Japon, pour diversifier les alliances et sortir de la dépendance occidentale.
À la tête de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, militant de la première heure, veille à la restauration d’un débat parlementaire vivant, exigeant, et reconnecté aux préoccupations des populations.
Et au Ministère de l’Intérieur, le Général Jean-Baptiste Tine, homme de rigueur, incarne la sécurité républicaine et la restauration du respect de l’ordre sans brutalité.
Face à eux, que reste-t-il de l’ancien système APR-BBY ?
Un champ de ruines, des scandales, des deals, des fortunes volées au peuple et une obsession de nuire à la refondation en cours.
Mais le peuple a tranché.
Il a choisi un projet, pas un clan.
Une direction, pas une illusion.
Une vision patriote, pas une continuité affairiste.
Et je le dis en tant que sympathisant engagé, patriote assumé et communicant de conviction :
Moustapha Sarr
Citoyen debout pour un Sénégal souverain, équitable et fier