
Comparant la première, la deuxième et troisième vague, Pr. Bèye a laissé comprendre que c’est la vaccination qui a changé la donne.
« En Afrique, où le nouveau variant est né et sur une période d’une semaine, plus de 100 mille nouveaux cas ont été dénombrés et seulement 12 mille hospitalisations. Et parmi ces hospitalisations, 99 seulement ont nécessité de l’oxygène et 4 réanimations. Et c’est le visage de cette épidémie», a-t-il expliqué. Et de poursuivre: «c’est la même tendance en France et ailleurs. Le Sénégal n’est pas en reste. Et ce qui a changé dans le pays, c’est le faible taux de vaccination».
De l’avis du professeur Mamadou Diarra Bèye, le variant Omicron n’est pas méchant mais sur quel terrain ?
«C’est dans des pays où près de 70 % de la population est vaccinée. Mais dans nos pays à ressources limitées, où on n’a moins de 10 % de la population vaccinée, on ne peut pas dire ce qui va se passer dans un ou deux mois. Il faut qu’au Sénégal, qu’on se rue vers la vaccination pour ceux qui ne l’étaient pas encore. Et ceux qui l’ont été, il faut impérativement que la troisième dose soit administrée».
« En Afrique, où le nouveau variant est né et sur une période d’une semaine, plus de 100 mille nouveaux cas ont été dénombrés et seulement 12 mille hospitalisations. Et parmi ces hospitalisations, 99 seulement ont nécessité de l’oxygène et 4 réanimations. Et c’est le visage de cette épidémie», a-t-il expliqué. Et de poursuivre: «c’est la même tendance en France et ailleurs. Le Sénégal n’est pas en reste. Et ce qui a changé dans le pays, c’est le faible taux de vaccination».
De l’avis du professeur Mamadou Diarra Bèye, le variant Omicron n’est pas méchant mais sur quel terrain ?
«C’est dans des pays où près de 70 % de la population est vaccinée. Mais dans nos pays à ressources limitées, où on n’a moins de 10 % de la population vaccinée, on ne peut pas dire ce qui va se passer dans un ou deux mois. Il faut qu’au Sénégal, qu’on se rue vers la vaccination pour ceux qui ne l’étaient pas encore. Et ceux qui l’ont été, il faut impérativement que la troisième dose soit administrée».