D’après un agent de l’État interrogé à ce sujet, la situation s’explique par une contrainte administrative : « Comment être Directeur régional alors que tu n’es pas fonctionnaire ? Dans la liste des nominations, il est le seul à ne pas avoir de matricule, ni d’affectation antérieure dans l’administration », a-t-il indiqué.
Selon cette même source, les postes de directeur régional, chef de division ou chef de bureau sont strictement réservés à des agents de l’État en activité, disposant d’un statut administratif clair. « Il est impossible de nommer un non-fonctionnaire à la tête d’un service régional ou départemental. Ce sont des fonctions encadrées par la réglementation », ajoute-t-il.
Ainsi, faute de satisfaire à ces conditions, Amath Bodian n’a pas pu être installé à son poste. Il a donc été remplacé par un autre agent de l’État. Toutefois, notre interlocuteur précise qu’Amath Bodian reste éligible à d’autres types de responsabilités, comme celles de conseiller technique, directeur national ou directeur général, qui, elles, ne sont pas soumises aux mêmes exigences statutaires.
Cette mise au point vise à clarifier un malentendu qui semble résulter davantage d’un problème administratif que d’un choix politique délibéré.
Selon cette même source, les postes de directeur régional, chef de division ou chef de bureau sont strictement réservés à des agents de l’État en activité, disposant d’un statut administratif clair. « Il est impossible de nommer un non-fonctionnaire à la tête d’un service régional ou départemental. Ce sont des fonctions encadrées par la réglementation », ajoute-t-il.
Ainsi, faute de satisfaire à ces conditions, Amath Bodian n’a pas pu être installé à son poste. Il a donc été remplacé par un autre agent de l’État. Toutefois, notre interlocuteur précise qu’Amath Bodian reste éligible à d’autres types de responsabilités, comme celles de conseiller technique, directeur national ou directeur général, qui, elles, ne sont pas soumises aux mêmes exigences statutaires.
Cette mise au point vise à clarifier un malentendu qui semble résulter davantage d’un problème administratif que d’un choix politique délibéré.