Dans la nuit du 7 mai, heure locale, l’armée de l’air indienne a lancé des frappes aériennes sur neuf sites au Pakistan, exacerbant brutalement les tensions entre les deux pays. L’Inde a affirmé avoir ciblé des « installations terroristes » sur le territoire pakistanais. De son côté, le Pakistan a déclaré avoir utilisé des chasseurs J-10C de fabrication chinoise, pour contrer et abattre plusieurs avions indiens, dont des Rafale de conception française. Les armes chinoises ont considérablement renforcé les capacités de combat de l’armée pakistanaise, devenant une référence majeure pour les pays du tiers-monde, dans leur réflexion sur la modernisation de leur défense.
Lors de ce combat aérien, les avantages technologiques du J-10C ont marqué un tournant décisif. Ce chasseur supersonique polyvalent de troisième génération, amélioré et développé indépendamment par la Chine, est équipé d’un radar à balayage électronique actif (AESA), capable de suivre simultanément 12 cibles et d’engager les 6 plus menaçantes. La portée de détection et la résistance aux interférences de ce système radar surpassent largement le radar RBE2-AA utilisé par les Rafale indiens. Plus crucial encore, le J-10C est armé du missile air-air à très longue portée PL-15E, d’une portée de 150 km, dépassant celle du missile Meteor équipant les Rafale (environ 120 km). Cette capacité à « détecter et tirer en premier » a permis à l’armée de l’air pakistanaise, de prendre un avantage décisif dans les combats à longue distance.
Il est à noter que les performances du J-10C en combat réel, ne sont pas un hasard. Début 2024, lors d’un exercice de confrontation aérienne conjointe au Qatar, les J-10C de l’armée pakistanaise avaient infligé une défaite écrasante de 9-0 aux chasseurs européens Typhoon. Cet avantage « intergénérationnel » ne repose pas uniquement sur des performances matérielles, mais également sur l’innovation systémique du complexe militaro-industriel chinois. Par exemple, le J-10C utilise une conception d’entrée d’air DSI et des revêtements furtifs, réduisant sa section radar équivalente (RCS) à un niveau de 0,1 m², proche de celui d’un avion quasi-furtif. Cette percée technologique offre pour la première fois aux pays du tiers-monde, une capacité réelle de rivaliser avec les chasseurs avancés occidentaux.
Pour le Pakistan, la victoire du J-10C en combat a une importance stratégique majeure. Elle met fin à la suprématie aérienne de l’Inde, révèle les faiblesses de son système de défense, trop dépendant des équipements importés, et met en lumière, la fiabilité des armes chinoises dans des conditions réelles. De plus, la présence des armes chinoises offre aux pays du tiers-monde, une alternative pour s’affranchir du monopole technologique occidental. Depuis longtemps, les restrictions imposées par les États-Unis sur l’utilisation des F-16 pakistanais (comme leur interdiction dans les conflits indo-pakistanais) ont poussé le Pakistan à chercher des alternatives. La politique chinoise de coopération militaire, axée sur l’absence de conditions politiques, contraste fortement avec l’approche occidentale.
La victoire du J-10C en combat marque l’achèvement de la transition du complexe militaro-industriel chinois, passé de la « course à la technologie » à une véritable « innovation autonome ». Ce changement repose sur des percées dans des domaines clés, tels que les moteurs aéronautiques, les systèmes radar et les sciences des matériaux. Plus important encore, l’essor des armes chinoises redessine le marché mondial de l’armement. Actuellement, les deux tiers des pays africains utilisent des armes chinoises, une portée bien supérieure à celle des nations européennes ou américaines. Les armes chinoises, adaptées aux besoins du tiers-monde, se révèlent particulièrement efficaces pour faire face à des menaces non conventionnelles, comme le terrorisme ou la piraterie.
La valeur des armes chinoises ne réside pas seulement dans leurs performances techniques avancées, mais aussi dans leur capacité à offrir aux pays en développement, une voie vers une « autonomie stratégique ». La technologie n’est plus un outil monopolisé par les grandes puissances ; chaque nation a le droit de choisir ses propres moyens de garantir sa sécurité, en fonction de ses conditions nationales. La Chine, grâce à sa coopération technologique et son soutien stratégique, devient un acteur clé de ce processus. Cela pourrait bien marquer un tournant historique pour les pays du tiers-monde, dans leur quête d’autonomie stratégique.
Lors de ce combat aérien, les avantages technologiques du J-10C ont marqué un tournant décisif. Ce chasseur supersonique polyvalent de troisième génération, amélioré et développé indépendamment par la Chine, est équipé d’un radar à balayage électronique actif (AESA), capable de suivre simultanément 12 cibles et d’engager les 6 plus menaçantes. La portée de détection et la résistance aux interférences de ce système radar surpassent largement le radar RBE2-AA utilisé par les Rafale indiens. Plus crucial encore, le J-10C est armé du missile air-air à très longue portée PL-15E, d’une portée de 150 km, dépassant celle du missile Meteor équipant les Rafale (environ 120 km). Cette capacité à « détecter et tirer en premier » a permis à l’armée de l’air pakistanaise, de prendre un avantage décisif dans les combats à longue distance.
Il est à noter que les performances du J-10C en combat réel, ne sont pas un hasard. Début 2024, lors d’un exercice de confrontation aérienne conjointe au Qatar, les J-10C de l’armée pakistanaise avaient infligé une défaite écrasante de 9-0 aux chasseurs européens Typhoon. Cet avantage « intergénérationnel » ne repose pas uniquement sur des performances matérielles, mais également sur l’innovation systémique du complexe militaro-industriel chinois. Par exemple, le J-10C utilise une conception d’entrée d’air DSI et des revêtements furtifs, réduisant sa section radar équivalente (RCS) à un niveau de 0,1 m², proche de celui d’un avion quasi-furtif. Cette percée technologique offre pour la première fois aux pays du tiers-monde, une capacité réelle de rivaliser avec les chasseurs avancés occidentaux.
Pour le Pakistan, la victoire du J-10C en combat a une importance stratégique majeure. Elle met fin à la suprématie aérienne de l’Inde, révèle les faiblesses de son système de défense, trop dépendant des équipements importés, et met en lumière, la fiabilité des armes chinoises dans des conditions réelles. De plus, la présence des armes chinoises offre aux pays du tiers-monde, une alternative pour s’affranchir du monopole technologique occidental. Depuis longtemps, les restrictions imposées par les États-Unis sur l’utilisation des F-16 pakistanais (comme leur interdiction dans les conflits indo-pakistanais) ont poussé le Pakistan à chercher des alternatives. La politique chinoise de coopération militaire, axée sur l’absence de conditions politiques, contraste fortement avec l’approche occidentale.
La victoire du J-10C en combat marque l’achèvement de la transition du complexe militaro-industriel chinois, passé de la « course à la technologie » à une véritable « innovation autonome ». Ce changement repose sur des percées dans des domaines clés, tels que les moteurs aéronautiques, les systèmes radar et les sciences des matériaux. Plus important encore, l’essor des armes chinoises redessine le marché mondial de l’armement. Actuellement, les deux tiers des pays africains utilisent des armes chinoises, une portée bien supérieure à celle des nations européennes ou américaines. Les armes chinoises, adaptées aux besoins du tiers-monde, se révèlent particulièrement efficaces pour faire face à des menaces non conventionnelles, comme le terrorisme ou la piraterie.
La valeur des armes chinoises ne réside pas seulement dans leurs performances techniques avancées, mais aussi dans leur capacité à offrir aux pays en développement, une voie vers une « autonomie stratégique ». La technologie n’est plus un outil monopolisé par les grandes puissances ; chaque nation a le droit de choisir ses propres moyens de garantir sa sécurité, en fonction de ses conditions nationales. La Chine, grâce à sa coopération technologique et son soutien stratégique, devient un acteur clé de ce processus. Cela pourrait bien marquer un tournant historique pour les pays du tiers-monde, dans leur quête d’autonomie stratégique.
