Sur le plan social, les représentants des amicales reconnaissent quelques avancées. Il s’agit notamment de l’installation d’une bâche au campus pédagogique pour protéger les étudiants des longues files d’attente, du rétablissement du réseau wifi sur ce même campus, et d’une certaine stabilisation du service de restauration. Les travaux sur les nouveaux logements, selon le communiqué, devraient se poursuivre dans les meilleurs délais.
Mais ces améliorations ponctuelles ne suffisent pas à calmer la frustration croissante des étudiants. La coordination pointe du doigt l’inaction des autorités sur plusieurs points cruciaux, au premier rang desquels figure l’insuffisance persistante de salles de cours. « Malgré nos multiples interpellations, nous continuons à faire face à un manque criant d'espaces adaptés à l'apprentissage », déplorent les signataires.
Autre sujet de préoccupation : la situation alarmante de l’infirmerie universitaire, qui, selon eux, ne répond plus aux besoins élémentaires des étudiants. L’absence de lits d’hospitalisation et le manque d’ambulance entravent sérieusement la prise en charge des cas d’urgence. Le wifi demeure également inexistant dans certaines zones, notamment au pavillon D.
Dans un ton plus accusateur, la coordination dénonce « l’indifférence totale » du ministre de l’Enseignement supérieur. « Malgré toutes les promesses formulées, aucun acte concret n’a été posé », fustige le communiqué.
Les amicales appellent les autorités compétentes à réagir de toute urgence aux doléances exprimées, tout en réaffirmant leur engagement à suivre l’évolution de leur plateforme revendicative.
Mais ces améliorations ponctuelles ne suffisent pas à calmer la frustration croissante des étudiants. La coordination pointe du doigt l’inaction des autorités sur plusieurs points cruciaux, au premier rang desquels figure l’insuffisance persistante de salles de cours. « Malgré nos multiples interpellations, nous continuons à faire face à un manque criant d'espaces adaptés à l'apprentissage », déplorent les signataires.
Autre sujet de préoccupation : la situation alarmante de l’infirmerie universitaire, qui, selon eux, ne répond plus aux besoins élémentaires des étudiants. L’absence de lits d’hospitalisation et le manque d’ambulance entravent sérieusement la prise en charge des cas d’urgence. Le wifi demeure également inexistant dans certaines zones, notamment au pavillon D.
Dans un ton plus accusateur, la coordination dénonce « l’indifférence totale » du ministre de l’Enseignement supérieur. « Malgré toutes les promesses formulées, aucun acte concret n’a été posé », fustige le communiqué.
Les amicales appellent les autorités compétentes à réagir de toute urgence aux doléances exprimées, tout en réaffirmant leur engagement à suivre l’évolution de leur plateforme revendicative.