
Mais, tient-il à préciser : «le Fonds monétaire international (FMI) avait estimé les besoins de l’Afrique pour la relance des économies africaines à 400 milliards de dollars. Des fonds couvrant jusqu’en 2025, mais il est à se demander si les partenaires arriveront à mobiliser ces fonds faire redémarrer correctement ma machine économique».
A l’en croire, «ces 100 milliards représentent le quart des besoins exprimés pour huiler la machine économique de l’Afrique. Donc, c’est dire qu’il y a fort à faire pour la relance économique». La crise de la Covid19 a entraîné une explosion de la dette publique des pays du continent africain.
Dans l’immédiat, cet engagement doit se traduire par une accélération de la campagne de vaccination contre la Covid19 et davantage de marges de manœuvre budgétaire pour les pays du continent africain.
Lors de ce sommet les participants ont discuté d’une réaffectation des réserves du Fonds monétaire international (Fmi) notamment les droits de tirage spéciaux des pays riches vers les économies en développement
Sud Quotidien
A l’en croire, «ces 100 milliards représentent le quart des besoins exprimés pour huiler la machine économique de l’Afrique. Donc, c’est dire qu’il y a fort à faire pour la relance économique». La crise de la Covid19 a entraîné une explosion de la dette publique des pays du continent africain.
Dans l’immédiat, cet engagement doit se traduire par une accélération de la campagne de vaccination contre la Covid19 et davantage de marges de manœuvre budgétaire pour les pays du continent africain.
Lors de ce sommet les participants ont discuté d’une réaffectation des réserves du Fonds monétaire international (Fmi) notamment les droits de tirage spéciaux des pays riches vers les économies en développement
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