
Ce montant représente près de 10% du produit intérieur brut (PIB) national et deux fois l’aide publique au développement.
Le président Sall, qui s’exprimait jeudi au siège de l’Organisation de développement et de coopération économique (OCDE), à Paris, estime que « la problématique de la migration doit être abordée d’une manière globale ».
En effet, relève le chef de l’Etat, « le phénomène n’est pas nouveau ». » C’est plutôt son ampleur exacerbée qui alimente aujourd’hui des passions, voire des comportements xénophobes, extrémistes », a-t-il expliqué.
« Certes, il faut combattre fermement les réseaux criminelles, mais en même temps, travaillons à la construction de sociétés politiquement stables, économiquement viables et socialement équitables », a plaidé le chef de l’Etat, en présence du secrétaire général de l’OCDE et de la SG de la Francophonie, Michaël Jean.
Mais il a surtout mis l’accent sur la nécessité de mettre en place « les conditions qui facilitent la migration légale pour certaines catégories, par exemple les étudiants, les chercheurs, les opérateurs économiques ».
Il a aussi insisté sur l’importance d’offrir « les conditions d’intégration sociale aux travailleurs migrants qui contribuent à la prospérité des pays d’accueil et aux efforts de développement de leurs pays d’origine ».
« Je sais que ce discours ne plait pas en Europe, mais je suis obligé de donner mes convictions, de les partager avec vous », a affirmé le président Sall.
Aps
Le président Sall, qui s’exprimait jeudi au siège de l’Organisation de développement et de coopération économique (OCDE), à Paris, estime que « la problématique de la migration doit être abordée d’une manière globale ».
En effet, relève le chef de l’Etat, « le phénomène n’est pas nouveau ». » C’est plutôt son ampleur exacerbée qui alimente aujourd’hui des passions, voire des comportements xénophobes, extrémistes », a-t-il expliqué.
« Certes, il faut combattre fermement les réseaux criminelles, mais en même temps, travaillons à la construction de sociétés politiquement stables, économiquement viables et socialement équitables », a plaidé le chef de l’Etat, en présence du secrétaire général de l’OCDE et de la SG de la Francophonie, Michaël Jean.
Mais il a surtout mis l’accent sur la nécessité de mettre en place « les conditions qui facilitent la migration légale pour certaines catégories, par exemple les étudiants, les chercheurs, les opérateurs économiques ».
Il a aussi insisté sur l’importance d’offrir « les conditions d’intégration sociale aux travailleurs migrants qui contribuent à la prospérité des pays d’accueil et aux efforts de développement de leurs pays d’origine ».
« Je sais que ce discours ne plait pas en Europe, mais je suis obligé de donner mes convictions, de les partager avec vous », a affirmé le président Sall.
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