En effet, selon le communiqué signé par Cheikhouna Gueye, ces deux établissements bancaires tardent inexplicablement à débloquer les fonds, bien que tous les documents requis aient été dûment fournis par les bénéficiaires. Certains enseignants attendent depuis trois, six mois, voire davantage, sans qu’aucune somme ne leur soit versée.
Ce qui choque encore davantage, c’est que malgré cette absence de décaissement, des prélèvements mensuels de 59.524 F CFA sont déjà effectués sur leurs salaires. « Une situation incompréhensible et injuste », déplore le communiqué, qui souligne le manque total de transparence et l’absence d’interlocuteurs fiables du côté de ces banques.
Pour des enseignants ayant attendu jusqu’à dix ans pour bénéficier de ce prêt, ce blocage est vécu comme une profonde humiliation. « Trop, c’est trop », tonne Cheikhouna Gueye, qui appelle l’État à intervenir de toute urgence. Il propose que, si la CBAO et la BHS ne peuvent honorer leurs engagements, les dossiers soient transférés vers des banques plus compétentes et soucieuses des attentes des enseignants.
Face à cette situation qui fragilise encore davantage des agents de l’État déjà éprouvés, l’appel est clair : « Non aux pratiques bancaires qui appauvrissent ceux qui forment les générations futures. »
Ce qui choque encore davantage, c’est que malgré cette absence de décaissement, des prélèvements mensuels de 59.524 F CFA sont déjà effectués sur leurs salaires. « Une situation incompréhensible et injuste », déplore le communiqué, qui souligne le manque total de transparence et l’absence d’interlocuteurs fiables du côté de ces banques.
Pour des enseignants ayant attendu jusqu’à dix ans pour bénéficier de ce prêt, ce blocage est vécu comme une profonde humiliation. « Trop, c’est trop », tonne Cheikhouna Gueye, qui appelle l’État à intervenir de toute urgence. Il propose que, si la CBAO et la BHS ne peuvent honorer leurs engagements, les dossiers soient transférés vers des banques plus compétentes et soucieuses des attentes des enseignants.
Face à cette situation qui fragilise encore davantage des agents de l’État déjà éprouvés, l’appel est clair : « Non aux pratiques bancaires qui appauvrissent ceux qui forment les générations futures. »