
« Comment une personne responsable peut-elle tenir des propos aussi graves sur des autorités avec qui, il n’a jamais échangé sur les sujets évoqués ? », s’ est-t-il interrogé, avant de répondre à sa propre question : « Dire que Monsieur Samuel Sarr est à l’origine des crispations imaginaires dans les relations entre le président Macky Sall et Me Abdoulaye Wade, relève d’une pure invention colmatée qui n’honore pas son auteur ».
Samuel Sarr soutient avoir « contribué, comme tant d'autres, et en toute discrétion, à la libération de Monsieur Karim Wade ». Cependant, il précise qu’ « il n’a véritablement joué aucun rôle particulier dans les relations empreintes d’estime et de considération entre Macky Sall et Me Abdoulaye Wade ». « Nous estimons que les retrouvailles sont aujourd’hui derrière nous, concentrons notre énergie dans la construction nationale », a-t-il invité.
« Pour se rapprocher de la vérité, a poursuivi l’ancien ministre de Wade, Monsieur Cheikh Yerim Seck aurait dû entrer en contact avec Monsieur Samuel Sarr afin de vérifier et de recouper ses informations avant d’avancer, avec autant d’aise, sur les plateaux télévision, des choses qui échappent totalement à son circuit de collecte, parce qu’étant à la périphérie des centres de décision.
« La paresse et l’envie de se positionner comme l’unique détenteur des scoops, tuent l’initiative du journaliste et corrode sa crédibilité », a-t-il regretté.
Samuel Sarr soutient avoir « contribué, comme tant d'autres, et en toute discrétion, à la libération de Monsieur Karim Wade ». Cependant, il précise qu’ « il n’a véritablement joué aucun rôle particulier dans les relations empreintes d’estime et de considération entre Macky Sall et Me Abdoulaye Wade ». « Nous estimons que les retrouvailles sont aujourd’hui derrière nous, concentrons notre énergie dans la construction nationale », a-t-il invité.
« Pour se rapprocher de la vérité, a poursuivi l’ancien ministre de Wade, Monsieur Cheikh Yerim Seck aurait dû entrer en contact avec Monsieur Samuel Sarr afin de vérifier et de recouper ses informations avant d’avancer, avec autant d’aise, sur les plateaux télévision, des choses qui échappent totalement à son circuit de collecte, parce qu’étant à la périphérie des centres de décision.
« La paresse et l’envie de se positionner comme l’unique détenteur des scoops, tuent l’initiative du journaliste et corrode sa crédibilité », a-t-il regretté.