En réaction à l’annonce du Premier ministre Ousmane Sonko, qui avait déclaré vouloir appliquer la réciprocité des visas, l'interlocuteur du quotidien d'information a indiqué que cette problématique est bien prise en compte au niveau européen : «C’est un sujet que nous prenons sérieusement au niveau européen.»
Pisani a tenu à nuancer certaines perceptions jugées négatives en avançant des chiffres concrets :
« Entre 2008 et 2023, le nombre de Sénégalais bénéficiant d’un titre de séjour dans l’espace européen est passé de 150 000 à plus de 300 000. »
Il ajoute : «Pour les visas de court séjour (visas Schengen), le nombre de visas accordés a doublé entre 2021 et 2023.»
Concernant le coût du visa Schengen, l'ambassadeur a précisé qu’il est fixé par le Code des visas et «moins élevé que celui de nombreux pays hors espace Schengen». Il a aussi évoqué les intermédiaires non officiels qui peuvent fausser la perception des frais :
«Cette perception d’un coût élevé peut être liée à l’intervention d’intermédiaires non-officiels, communément appelés officines, qui n’ont aucun rôle dans la procédure.»
Enfin, l’ambassadeur a réaffirmé l'engagement de l’UE à travailler avec les autorités sénégalaises pour rendre les procédures plus transparentes et accessibles :
«Notre volonté est, bien sûr, de rendre la situation la plus transparente et fluide possible, au bénéfice de tous.»
Pisani a tenu à nuancer certaines perceptions jugées négatives en avançant des chiffres concrets :
« Entre 2008 et 2023, le nombre de Sénégalais bénéficiant d’un titre de séjour dans l’espace européen est passé de 150 000 à plus de 300 000. »
Il ajoute : «Pour les visas de court séjour (visas Schengen), le nombre de visas accordés a doublé entre 2021 et 2023.»
Concernant le coût du visa Schengen, l'ambassadeur a précisé qu’il est fixé par le Code des visas et «moins élevé que celui de nombreux pays hors espace Schengen». Il a aussi évoqué les intermédiaires non officiels qui peuvent fausser la perception des frais :
«Cette perception d’un coût élevé peut être liée à l’intervention d’intermédiaires non-officiels, communément appelés officines, qui n’ont aucun rôle dans la procédure.»
Enfin, l’ambassadeur a réaffirmé l'engagement de l’UE à travailler avec les autorités sénégalaises pour rendre les procédures plus transparentes et accessibles :
«Notre volonté est, bien sûr, de rendre la situation la plus transparente et fluide possible, au bénéfice de tous.»







