Le secrétaire général du parti Bokk Gis Gis, Pape Diop, a saisi la justice sur son éviction au poste de 8e vice-président de l’Assemblée nationale, pour être rétabli dans ses droits. L’ancien président du Sénat a réagi sur le dossier, hier, après son audience avec le porte-parole du Khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké, à la résidence Khadimou Rassoul.
Selon lui, le poste ne l’intéresse pas, mais il va continuer le combat en se fondant sur la défense des questions de principe et de démocratie. « Maintenant, l’affaire est pendante devant la justice. Nous attendons de voir si la justice va leur donner raison ou non », indique le député.
Pour l’ancien président de l’Assemblée nationale, son éviction est une injustice orchestrée par la majorité présidentielle, après la rentrée parlementaire de 2017. « Ils ont voulu investir les choses cette année pour que le poste de 8e vice-président soit occupé par une dame. Et ils ont manœuvré avant l’ouverture de la session de 2018. C’est pourquoi, après la rentrée, ils ont monté des femmes pour qu’elles protestent », ajoute-t-il.
Enquête
Selon lui, le poste ne l’intéresse pas, mais il va continuer le combat en se fondant sur la défense des questions de principe et de démocratie. « Maintenant, l’affaire est pendante devant la justice. Nous attendons de voir si la justice va leur donner raison ou non », indique le député.
Pour l’ancien président de l’Assemblée nationale, son éviction est une injustice orchestrée par la majorité présidentielle, après la rentrée parlementaire de 2017. « Ils ont voulu investir les choses cette année pour que le poste de 8e vice-président soit occupé par une dame. Et ils ont manœuvré avant l’ouverture de la session de 2018. C’est pourquoi, après la rentrée, ils ont monté des femmes pour qu’elles protestent », ajoute-t-il.
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