
Selon "Libération", Marième Faye Sall s’est effectivement rendue à Fann Résidence le jour de l’Eï Kébir vers 14 heures. Une visite de courtoisie ou « ziaar » comme le veut la tradition sénégalaise. Elle était accompagnée de son fils, Amadou Sall et de Moustapha Diakhaté dans une voiture banalisée sans escorte ni garde du corps.
Arrivée sur les lieux, la Première Dame, a demandé à voir le Me Wade. Mais, l’un des proposés à la sécurité, visiblement surpris de cette visite, lui a indiqué que son patron avait donné des consignes claires. A savoir que le déplacement à Massalikoul Djinane pour prier, l’avait épuisé et qu’il avait besoin de se reposer. Sur ces entrefaites, Marième Faye Sall a demandé à son interlocuteur de dire au prédécesseur de son mari qu’elle était passée pour un « ziaar », avant de retourner sur ses pas avec sa délégation.
Le journal « Les Echos », lui, d'ajouter, qu’entre-temps, l’ancien Wadiste éternel Samuel Sarr est arrivé sur les lieux. Et, il a lui aussi demandé à voir Me Wade. Mais le protocole s’y est opposé. Les relations entre Me Wade et son ancien ministre sont distendues depuis que ce dernier s’est reconverti «Makyste juré ». A en croire, Les Echos », les amis communs font des pieds et des mains pour les réconcilier.
Arrivée sur les lieux, la Première Dame, a demandé à voir le Me Wade. Mais, l’un des proposés à la sécurité, visiblement surpris de cette visite, lui a indiqué que son patron avait donné des consignes claires. A savoir que le déplacement à Massalikoul Djinane pour prier, l’avait épuisé et qu’il avait besoin de se reposer. Sur ces entrefaites, Marième Faye Sall a demandé à son interlocuteur de dire au prédécesseur de son mari qu’elle était passée pour un « ziaar », avant de retourner sur ses pas avec sa délégation.
Le journal « Les Echos », lui, d'ajouter, qu’entre-temps, l’ancien Wadiste éternel Samuel Sarr est arrivé sur les lieux. Et, il a lui aussi demandé à voir Me Wade. Mais le protocole s’y est opposé. Les relations entre Me Wade et son ancien ministre sont distendues depuis que ce dernier s’est reconverti «Makyste juré ». A en croire, Les Echos », les amis communs font des pieds et des mains pour les réconcilier.