«50 jeunes sont formés ici à Yarakh. Mais au total, ce sont 2000 personnes qui seront formées avant de bénéficier des financements. Quatre-vingt- quinze (95) millions sont déjà débloqués. Ces jeunes qui sont là , c’est eux qui font l’immigration clandestine. Mais, s’ils sont formés et financés, ils ne vont plus risquer leurs vies en mer. C’est pourquoi, ils sont venus en masse», explique Thierno Mbengue.
La formation est axée sur trois modules : la sécurité en mer, le maintien des appareils frigorifiques et les bonnes pratiques d’hygiène au niveau des industries de pêche. À cette occasion, les pêcheurs ont été invités à ne pas polluer la mer.
«Les gens parlent trop de pétrole. Mais nous les pêcheurs nous n’avons que la mer. C’est notre trésor. Nous devons la protéger contre la pollution. Nous invitons les riverains de la mer de ne pas jeter des ordures et des sachets en plastique dans la mer. C’est nuisible pour les poissons», soutient M. Mbengue.
Tribune
La formation est axée sur trois modules : la sécurité en mer, le maintien des appareils frigorifiques et les bonnes pratiques d’hygiène au niveau des industries de pêche. À cette occasion, les pêcheurs ont été invités à ne pas polluer la mer.
«Les gens parlent trop de pétrole. Mais nous les pêcheurs nous n’avons que la mer. C’est notre trésor. Nous devons la protéger contre la pollution. Nous invitons les riverains de la mer de ne pas jeter des ordures et des sachets en plastique dans la mer. C’est nuisible pour les poissons», soutient M. Mbengue.
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