Face à la presse ce dimanche, le porte-parole du collectif, Aboubacar Cissé a expliqué : « Nous tenons aujourd’hui, à dénoncer avec la plus grande fermeté cette opération, opérée sans concertation, sans transparence et en totale violation des procédures établies en matière de gestion foncière ». Selon lui, cette manœuvre constitue « un acte d’injustice grave aux conséquences sociales, juridiques et économiques, préoccupantes pour des centaines de familles, de coopératives et de citoyens, ayant acquis leurs parcelles légalement ».
Le collectif précise que le Titre Foncier n°6890, autour duquel, s’articule cette opération, « fait l’objet de litiges non résolus et ne saurait faire l’objet d’une intégration au plan de lotissement sans un processus transparent et respectueux des droits acquis.
Face à cette situation, le collectif exige plusieurs mesures urgentes : « L’annulation immédiate de toute décision administrative ou technique, relative à la modification du lotissement de Khalou Dioula au profit d’un tiers ; la suspension de l’intégration du Titre Foncier n°6890, tant que la légalité de cette opération n’est pas établie ; l’ouverture d’une enquête indépendante et la publication des responsabilités engagées ; et la garantie du respect des droits fonciers de nos membres et des coopératives légalement constituées ».
Le collectif insiste sur le fait que sa mobilisation reste « pacifique, légale, mais déterminée » et qu’il ne s’oppose à aucune entité, y compris la Gendarmerie nationale. Mais, souligne-t-il, nous nous opposons fermement à toute tentative d’appropriation illégitime et unilatérale de nos terres.
Pour soutenir leur cause, ces propriétaires interpellent plusieurs autorités, dont le président de la République, le Premier ministre, le ministre des Collectivités territoriales, le gouverneur de Dakar, le préfet du département de Rufisque, le sous-préfet de l’arrondissement de Sangalkam, ainsi que le Haut Commandant de la justice militaire et le Directeur de la Gendarmerie nationale.
Biame Khay Ndaw
Le collectif précise que le Titre Foncier n°6890, autour duquel, s’articule cette opération, « fait l’objet de litiges non résolus et ne saurait faire l’objet d’une intégration au plan de lotissement sans un processus transparent et respectueux des droits acquis.
Face à cette situation, le collectif exige plusieurs mesures urgentes : « L’annulation immédiate de toute décision administrative ou technique, relative à la modification du lotissement de Khalou Dioula au profit d’un tiers ; la suspension de l’intégration du Titre Foncier n°6890, tant que la légalité de cette opération n’est pas établie ; l’ouverture d’une enquête indépendante et la publication des responsabilités engagées ; et la garantie du respect des droits fonciers de nos membres et des coopératives légalement constituées ».
Le collectif insiste sur le fait que sa mobilisation reste « pacifique, légale, mais déterminée » et qu’il ne s’oppose à aucune entité, y compris la Gendarmerie nationale. Mais, souligne-t-il, nous nous opposons fermement à toute tentative d’appropriation illégitime et unilatérale de nos terres.
Pour soutenir leur cause, ces propriétaires interpellent plusieurs autorités, dont le président de la République, le Premier ministre, le ministre des Collectivités territoriales, le gouverneur de Dakar, le préfet du département de Rufisque, le sous-préfet de l’arrondissement de Sangalkam, ainsi que le Haut Commandant de la justice militaire et le Directeur de la Gendarmerie nationale.
Biame Khay Ndaw