À TRAVERS la "Loi sur la Santé de la Reproduction" (article 15), le "Code de Déontologie des Médecins (article 35) et son Code pénal (article 305) l'État du Sénégal a souscrit sans équivoque au postulat qui n’autorise le "yaxeu biir" (avortement) que lorsque la vie de la mère est à ce point menacée qu’elle ne pourrait être sauvée que par un «AVORTEMENT MÉDICALISÉ».
CONCEPT qui prend alors tout son sens, contrairement à celui que s'obstinent à lui donner ces organisations féministes sénégalaises, risquant ainsi, à travers cette manipulation sémantique, d'endoctriner l'opinion publique et d’ouvrir la boite de Pandore.
AUCUN PROTOCOLE ou engagement pris par l'État du Sénégal à l'étranger, fut-il pour légaliser L'HOMOSEXUALITÉ (comme on l'imputait naguère au précédent régime libéral); ou pour légaliser L'AVORTEMENT (comme s'y activent présentement les féministes), dès l'instant que lesdits protocoles sont en TOTALE DÉPHASAGE avec les croyances culturelles et religieuses de l'écrasante majorité des croyants de ce pays, ne seront JAMAIS APPLIQUÉS, incha Allah, dans ce pays béni où reposent Cheikh Oumar Foutiyou Tall, Cheikh Ahmadou Bamba, Seydil Haj Malick Sy , Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niasse, Seydina Limamou Laye, etc.
CE PAYS où, également, des structures de VEILLE et d'ALERTE continueront de rejeter fermement toutes formes de complexe d'infériorité se traduisant souvent par un MIMÉTISME AVEUGLE des sous-cultures occidentales, que tentent de nous inculquer des lobbies étrangers occultes, qui prétendent à tort que leur force de frappe financière leur autorise toutes les forfaitures.
POURQUOI, dans leur activisme débordant, pour faire DÉPÉNALISER L'AVORTEMENT au Sénégal, ces féministes confinent-elles leurs cibles potentielles dans une ignorance totale de la véritable nature de L'AVORTEMENT, notamment son caractère profondément traumatisant, au triple plan physiologique, psychologique et spirituel ?
POURQUOI ne font-elles jamais état dans leurs plaidoyers des inombrables risques que comportent les IVG (interruptions volontaires de grossesses), en informant, dans la transparence, les candidates à l'IVG des risques de destruction qu'elles font courir à leurs appareils de reproductions ?
POURQUOI cette OMERTA sur le terrible "syndrome post-abortif", qui a pourtant suffisamment fait l'objet de nombreuses études dans des universités et instituts de recherche de renom à travers le monde ?
POINT DE PRESSE ce jeudi 09 septembre 2021, à 16h, au siège de l'UNSAS, à la Zone de Captage, derrière la morgue de l'Hôpital général de Grand-Yoff.
CONTACT :
▪︎77 563 19 35 (Mballo Dia Thiam)
▪︎77 647 00 57 (Adama Mboup)
CONCEPT qui prend alors tout son sens, contrairement à celui que s'obstinent à lui donner ces organisations féministes sénégalaises, risquant ainsi, à travers cette manipulation sémantique, d'endoctriner l'opinion publique et d’ouvrir la boite de Pandore.
AUCUN PROTOCOLE ou engagement pris par l'État du Sénégal à l'étranger, fut-il pour légaliser L'HOMOSEXUALITÉ (comme on l'imputait naguère au précédent régime libéral); ou pour légaliser L'AVORTEMENT (comme s'y activent présentement les féministes), dès l'instant que lesdits protocoles sont en TOTALE DÉPHASAGE avec les croyances culturelles et religieuses de l'écrasante majorité des croyants de ce pays, ne seront JAMAIS APPLIQUÉS, incha Allah, dans ce pays béni où reposent Cheikh Oumar Foutiyou Tall, Cheikh Ahmadou Bamba, Seydil Haj Malick Sy , Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niasse, Seydina Limamou Laye, etc.
CE PAYS où, également, des structures de VEILLE et d'ALERTE continueront de rejeter fermement toutes formes de complexe d'infériorité se traduisant souvent par un MIMÉTISME AVEUGLE des sous-cultures occidentales, que tentent de nous inculquer des lobbies étrangers occultes, qui prétendent à tort que leur force de frappe financière leur autorise toutes les forfaitures.
POURQUOI, dans leur activisme débordant, pour faire DÉPÉNALISER L'AVORTEMENT au Sénégal, ces féministes confinent-elles leurs cibles potentielles dans une ignorance totale de la véritable nature de L'AVORTEMENT, notamment son caractère profondément traumatisant, au triple plan physiologique, psychologique et spirituel ?
POURQUOI ne font-elles jamais état dans leurs plaidoyers des inombrables risques que comportent les IVG (interruptions volontaires de grossesses), en informant, dans la transparence, les candidates à l'IVG des risques de destruction qu'elles font courir à leurs appareils de reproductions ?
POURQUOI cette OMERTA sur le terrible "syndrome post-abortif", qui a pourtant suffisamment fait l'objet de nombreuses études dans des universités et instituts de recherche de renom à travers le monde ?
POINT DE PRESSE ce jeudi 09 septembre 2021, à 16h, au siège de l'UNSAS, à la Zone de Captage, derrière la morgue de l'Hôpital général de Grand-Yoff.
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