Pour le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS), '' on comprend pourquoi il a été e chassé des salons de massage, ses lieux de prédilection et de fréquentation avec, en prime, plainte et complainte d'une fille sur son dos. Depuis lors, il a perdu le nord et ne sait plus à quel discours tenir aux citoyens''.
Plus les élections législatives s'approchent, plus l'on note un affolement du côté de l'opposition, allant jusqu'à s'essayer dans la violence. Sinon, se demande Ousmane Faye, ''en quoi un appel à retirer sa carte d'électeur peut-il donner lieu à des casses et autres agressivités ? C'est quoi cette indiscipline et ce manque de civilité qu'on veut inculquer à nos jeunes ? Non, il faut que cela cesse pour de bon. Il est temps d'apprendre à ce sauvageon qu'on est dans un pays civilisé et qu'on doit inculquer à nos progénitures les principes élémentaires de participation utile à la vie communautaire et citoyenne. Ce Sonko-la, est ce qu'il est saint d'esprit même ? ''
Pour Ousmane Faye,'' il est temps de faire savoir à ce petit jouisseur qu'user de la violence n'a jamais été un principe républicain. On constate qu'à chacune de ses sorties, il se fait dans les menaces. Et s'il pense qu'il détient le monopole de la violence, il est temps qu'il se rende compte qu'il ne pèse absolument rien pour subir les foudres de la correction de l'Etat chargé de veiller à la sécurité des personnes et des biens''.
A trois jours des consultations, la société civile et tous les observateurs de la scène politique, nationaux comme internationaux, doivent éprouver le regret de voir un petit type s'inscrire seul dans des confrontations physiques. '' C'est dépassé et cela n'en vaut pas la peine, parce que les citoyens vont départager les différents candidats et former une assemblée de continuité pour davantage se retrouver dans la vision du Président Macky Sall '', préconise Ousmane Faye, sur le chemin du retour vers la capitale après une campagne menée au sud et à l'ouest du Sénégal, notamment à Ziguinchor, Fatick et Thiès.
Plus les élections législatives s'approchent, plus l'on note un affolement du côté de l'opposition, allant jusqu'à s'essayer dans la violence. Sinon, se demande Ousmane Faye, ''en quoi un appel à retirer sa carte d'électeur peut-il donner lieu à des casses et autres agressivités ? C'est quoi cette indiscipline et ce manque de civilité qu'on veut inculquer à nos jeunes ? Non, il faut que cela cesse pour de bon. Il est temps d'apprendre à ce sauvageon qu'on est dans un pays civilisé et qu'on doit inculquer à nos progénitures les principes élémentaires de participation utile à la vie communautaire et citoyenne. Ce Sonko-la, est ce qu'il est saint d'esprit même ? ''
Pour Ousmane Faye,'' il est temps de faire savoir à ce petit jouisseur qu'user de la violence n'a jamais été un principe républicain. On constate qu'à chacune de ses sorties, il se fait dans les menaces. Et s'il pense qu'il détient le monopole de la violence, il est temps qu'il se rende compte qu'il ne pèse absolument rien pour subir les foudres de la correction de l'Etat chargé de veiller à la sécurité des personnes et des biens''.
A trois jours des consultations, la société civile et tous les observateurs de la scène politique, nationaux comme internationaux, doivent éprouver le regret de voir un petit type s'inscrire seul dans des confrontations physiques. '' C'est dépassé et cela n'en vaut pas la peine, parce que les citoyens vont départager les différents candidats et former une assemblée de continuité pour davantage se retrouver dans la vision du Président Macky Sall '', préconise Ousmane Faye, sur le chemin du retour vers la capitale après une campagne menée au sud et à l'ouest du Sénégal, notamment à Ziguinchor, Fatick et Thiès.
