Pour répondre aux exigences du Gafi, le Sénégal a mis en œuvre 49 mesures destinées à renforcer sa législation contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Parmi les initiatives majeures figurent la réforme du code pénal, la modification du code de procédure pénale, et la création de l’Office national de recouvrement des avoirs criminels, opérationnel depuis 2022.
D’ailleurs, cet organisme a achevé un important travail législatif, notamment pour mieux encadrer les infractions liées au financement du terrorisme et au blanchiment de capitaux.
Ce retrait de la liste noire représente un soulagement majeur pour le système financier sénégalais. Au regard de la polémique sur la dette, de la contraction de la situation économique et de l’importance de financer l’Agenda National de Transformation à l’horizon 2050, cette décision devrait faciliter l'accès aux marchés financiers, simplifiant ainsi les levées de fonds.
Une nouvelle évaluation du Sénégal par le Gafi est prévue pour février 2026, ce qui laisse présager un suivi étroit mais aussi la possibilité de consolider ces avancées.
D’ailleurs, cet organisme a achevé un important travail législatif, notamment pour mieux encadrer les infractions liées au financement du terrorisme et au blanchiment de capitaux.
Ce retrait de la liste noire représente un soulagement majeur pour le système financier sénégalais. Au regard de la polémique sur la dette, de la contraction de la situation économique et de l’importance de financer l’Agenda National de Transformation à l’horizon 2050, cette décision devrait faciliter l'accès aux marchés financiers, simplifiant ainsi les levées de fonds.
Une nouvelle évaluation du Sénégal par le Gafi est prévue pour février 2026, ce qui laisse présager un suivi étroit mais aussi la possibilité de consolider ces avancées.