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Chronique D'un Républicain Convaincu Le PSE et l'ODD8 pour la Promotion d' une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous.


Rédigé le Jeudi 19 Juin 2025 à 14:19 | Lu 84 fois | 0 commentaire(s)



La politique est par Excellence, le laboratoire des comportements humains, c'est le seul domaine par lequel on comprend l'ontologie de l'être. La politique demande de la sincérité, de la fidélité, de la loyauté mais surtout de la reconnaissance et de l'engagement. Vouloir transhumer ne nécessite pas la victimisation. Chercher à ridiculiser les Réunions du SEN relève de l'infamant et de l'ignominie.Lors du Dialogue la position de l'apr était définitive et claire : la position du parti était un NON CATÉGORIQUE. Que chacun assume et assure ses positions. Un politicard restera toujours le même, c'est la quête du strapontin, les Jeux de yo-yo, les dilatoires et les combines. Nous sommes très fiers d'être des Mackystes Convaincus . Nous ne pouvons pas avoir des camarades otages politiques qui sont victimes d'une cavale politiques dont le seul objectif des tenants du pouvoir est la diabolisation et le dénigrement de notre. Avec tous ces motifs comment pouvons-nous negocier avec des personnes pareils .


Une croissance économique soutenue, partagée et durable est une condition préalable à la prospérité nationale. L’ODD 8 vise à fournir des possibilités pour un plein emploi productif et un travail décent 
pour tous, tout en éradiquant le travail forcé, la traite d’êtres humains et le travail des enfants.Maintenir un taux de croissance économique par habitant adapté au contexte national et, en 
particulier, un taux de croissance annuelle du produit intérieur brut d’au moins 7 pour cent dans les pays les moins avancés.A travers la transformation structurelle de l’économie, le PSE prend en compte cette cible et porte ainsi 
ce premier pilier comme condition endogène à une dynamique forte et soutenue à l’horizon 2035.L’objectif est, d’une part, favoriser le passage du Sénégal au statut de pays à revenu intermédiaire et d’autre part, d’installer et de maintenir l’économie sur une trajectoire de croissance forte vers le seuil minimum franchi par les pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure.L’indicateur proposé pour cette cible est habituellement renseigné par le cadre de suivi des politiques 
publiques. En effet, le taux de croissance annuelle du PIB par habitant est passé de 3,07% en 2015 à 3,35% en 2016 pour se situer à 3,6% en 2017, reflétant ainsi, les actions initiées par le Gouvernement 
pour le maintien de l’économie sur une trajectoire de croissance forte et durable, à travers notamment la poursuite en 2016, de l’exécution des programmes d’investissement de l’État (Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC), Programme de modernisation des villes (PROMOVILLES), Programme d’urgence de modernisation des axes frontaliers (PUMA), SN2025 
etc.). Il s’y ajoute la consolidation des acquis dans le sous-secteur agricole, avec le PRACAS, ainsi que la bonne orientation globale de l’activité des industries, conjuguée à la relance du secteur des services.Par ailleurs, l’économie
sénégalaise reste sur la tendance haussière, amorcée depuis 2014 avec un taux de croissance du PIB réel qui se maintient sur son rythme de plus de 6% pour la troisième année consécutive. En effet, en 2017, le taux de croissance du PIB réel est de 6,8%, reflétant ainsi, la 
consolidation de la mise en Å“uvre des grands projets d’investissement et le renforcement de l’ensemble des secteurs productifs. Globalement, cette croissance est portée par les secteurs primaire (13,0%), tertiaire (7,0%) et, dans une moindre mesure, par le secteur secondaire (4,2%).Parvenir à un niveau élevé de productivité économique par la diversification, la modernisation 
technologique et l'innovation, notamment en mettant l'accent sur les secteurs à forte valeur ajoutée et à forte intensité de main-d'Å“uvre.La productivité s’est globalement améliorée entre 2010 et 2014, sauf dans les secteurs de la construction et du commerce. Sur la période 1980-2014, les secteurs les plus productifs sont les 
activités immobilières, suivies des services financiers, des transports, postes et télécommunications, des services publics et du groupe eau-électricité-gaz. Sur la période 2010-2014, le travailleur du secteur des activités immobilières était 2 000 fois plus productif que celui de l’agriculture. Une diversification 
de l’économie à travers l’agriculture et les activités manufacturières devrait donc privilégier les filières à haute valeur ajoutée comme prévu dans le PSE. Depuis 2014, la croissance économique est de plus en plus portée par le secteur primaire,notamment le sous-secteur agricole. En effet, plusieurs filières agricoles ont connu de forte augmentation entre 2015 et 2016 grâce à la modernisation des équipements et à la mise à disposition des intrants de qualité. C’est donc à juste titre que le PSE mise sur les marges de progression disponibles pour l’accroissement de la productivité de l’agriculture au sens large et le potentiel de dynamisme de l’industrie, des activités touristiques et des secteurs de l’éducation et de la santé et porter à 7% au moins le taux de croissance de l’économie sur l’horizon 2018-2035. Ainsi le taux de croissance du PIB par personne employée s’est établi à 1,74% en 2017 
contre 3,16% en 2016 et 3,93% en 2015. 
Promouvoir des politiques axées sur le développement qui favorisent les activités productives, la création d’emplois décents, l’entrepreneuriat, la créativité et l’innovation et stimulent la croissance des micro-entreprises et des petites et moyennes entreprises et facilitent leur intégration dans le 
secteur formel, y compris par l’accès aux services financiers.Cette cible est cohérente avec les orientations du Plan Sénégal Emergent (PSE) visant la promotion de l’initiative privée comme vecteur de croissance. A ce titre, le Gouvernement poursuit les actions 
relatives à la promotion des PME, grâce à (i) l’amélioration de l’environnement des affaires ; (ii) la promotion de
l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes ; (iii) le renforcement de la place du capital privé dans l’économie nationale ; (iv) l’amélioration de l’accès aux services financiers et non financiers à travers la création d’un Fonds de Garantie et d’Investissements Prioritaires 
(FONGIP), d’un Fonds Souverain d’Investissement Stratégique (FONSIS) et de la Banque Nationale de Développement Economique (BNDE) ; (v) l’amélioration de l’appui technique pour 
la création de sociétés de prestation de services ou encore (vi) la mise à niveau des entreprises pour l’amélioration de leur compétitivité avec le Bureau de Mise à niveau (BMN).A cet égard, il est visé la promotion de la formation professionnelle orientée vers le marché de l'emploi 
à travers le développement et la décentralisation des opportunités de formation professionnelle et continue et la diversification des filières de formation professionnelle et technique ; le développement d’une offre
d’enseignement supérieur diversifiée et de qualité par la création de nouveaux pôles universitaires centrés sur les potentialités économiques des régions ; et la mise en place des incubateurs 
dans toutes les universités publiques et la construction et le fonctionnement de nouveaux Centres de recherche et d'essai (CRE) pour le transfert de technologie et l'innovation.Le secteur informel représente 41,6% du PIB et emploie 48,8% de la population active (la recrudescence de la pauvreté renforce le poids de l’informel). Les unités de production informelle (UPI) ont permis de créer 2 216 717 emplois en 2015. Ce secteur regroupe des employés et des commerçants sans couverture sociale. Il ne génère aucune recette fiscale pour l’Etat, comme il ne 
peut émarger à aucun programme ou dispositif d’aide de l’Etat. S’il permet aux catégories sociales vulnérables de survivre il n’offre aucune sécurité d’emploi, ni d’opportunités réelles de sortir de la pauvreté et de la précarité.Afin de faciliter la formalisation du secteur informel, la loi 2015-07 du 9 avril 2015 autorise les créateurs de SARL à fixer librement leur capital social. La modernisation des règles de création a 
été également encouragée par le décret 2015-690 du 27 mai 2015, fixant les émoluments des notaires, en matière de constitution de la SARL. L’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique 
du droit des affaires (OHADA) a défini en 2011 un statut appelé «statut
entreprenant » pour renforcer le secteur informel. La Fédération des Clubs OHADA du Sénégal a permis la création 
de quelques 5 255 SARL, à fin 2015, au seul Registre de commerce de Dakar. 
8.5 : D’ici à 2030, parvenir au plein emploi productif et garantir à toutes les femmes et à tous les hommes, y compris les jeunes et les personnes handicapées, un travail décent et un salaire égal pour 
un travail de valeur égale.Pour faire face à la problématique de l’emploi notamment des jeunes et des personnes vulnérables, 
le Gouvernement a adopté une politique nationale de l’emploi qui repose sur le renforcement de l’efficacité et de la transparence du marché du travail, ainsi que sur la promotion de l’auto-emploi, 
en milieu rural et urbain. L’Etat a également créé des instruments pour accompagner les jeunes tels que la Convention nationale Etat Employeurs privés, la mise en place de divers fonds et la réalisation des domaines agricoles communautaire (DAC). En outre, il a été élaboré de nouveaux textes sur le contrat de stage, plus précisément, la loi n°2015-04 abrogeant et complétant certaines dispositions de la loi n°97-17 du 01 décembre 1997 portant Code du travail et le décret n°2015-777 fixant les règles applicables au contrat de stage pour favoriser l’insertion professionnelle des 
jeunes diplômés mais aussi le décret n°2016-263 du 22 février 2016 fixant les règles applicables au contrat d’apprentissage.Pour cette cible, deux indicateurs sont proposés, dont l’un (taux de chômage, par sexe, âge et type 
de handicap) est renseigné par le cadre de suivi des politiques mais non désagrégé selon le « type de handicap ». Ainsi, le taux de chômage5 est-il ressorti à 15,6% en moyenne sur les quatre 
trimestres de l’année 2017, contre 16,8% pour 2016 et 15,7% en 2015. Il est légèrement plus accentué en milieu urbain (16,03%) qu’en milieu rural (15,45%) et touche davantage les femmes 
(22,45%) que les hommes (9,45%). Concernant le second indicateur (rémunération horaire moyenne des salariés hommes et femmes, par profession, âge et type de handicap), le salaire moyen horaire d’un employé est estimée à 567,16 FCFA. Il est plus élevé pour les hommes (606,63 FCFA/H) que pour les femmes (456,66 FCFA/H). 
255. En 2017, quarante et une (41) entreprises ont été enrôlées dans le cadre de la Convention Etat/Employeurs, contre trente et une (31) en 2016. Le nombre d’entrepreneurs engagés dans les 
domaines agricoles communautaire a connu une forte baisse, passant de 11 090 en 2016 à 4 000 en 2017. Par ailleurs, la mise en place du Centre de services agricoles et de formation à SEFA dans 
la région de Sédhiou a été réalisée à hauteur de 90% et celui de Keur Momar Sarr (KMS) dans la région de Louga, à 75%. 

D’ici à 2020, réduire considérablement la proportion de jeunes non scolarisés et sans emploi ni formation. En plus de la nouvelle politique de l’emploi, la création de nouveaux emplois formels passe dans 
le PSE par l’éradication de
l'analphabétisme et la promotion des langues nationales pour la diversification de l'offre d'Éducation Non formelle et éducative et les actions concrètes dans le 
domaine de la formation professionnelle et technique. En effet, les résultats de l’ENES montrent que le taux de chômage de jeunes sans diplôme est estimé à 15,7% en 2016.Prendre des mesures immédiates et efficaces pour supprimer le travail forcé, mettre fin à l’esclavage moderne et à la traite d’êtres humains, interdire et éliminer les pires formes de travail des enfants, y compris le recrutement et l’utilisation d’enfants soldats, et, d’ici à 2025, mettre fin au 
travail des enfants sous toutes ses formes.Les droits spécifiques des jeunes sont reconnus et promus. Le Sénégal a adhéré aux conventions internationales6 en la matière et a engagé la lutte contre toutes les formes de violences faites aux 
enfants. Son engagement demeure toutefois limité dans leur portée, alors que de nouveaux problèmes mettant en cause les jeunes, apparaissent. Ces problèmes résultent principalement de la 
non-application de la loi sur la mendicité, sur le mariage précoce, sur le travail des enfants dansles mines ou encore, de négligences dans la protection des enfants, de la défaillance sur les droits 
de l’enfant. Fort de ce constat, les autorités sénégalaises ont pris des mesures visant un meilleur encadrement des « daara », y compris la mise en place des normes en matière de santé, de sécurité, d'hygiène, de logement, du contenu et de la qualité de l'éducation devant garantir le plein épanouissement des enfants, tout en les intégrant progressivement au système éducatif formel.Par ailleurs, des textes
d’application ont été pris tels que l’arrêté n°3748 du 06 juin 2003 relatif au 
travail des enfants, l’arrêté n°3749 fixant et interdisant les pires formes de travail des enfants,l’arrêté n°3750 fixant la nature des travaux dangereux interdits aux enfants et jeunes gens, l’arrêté 
n°3751 fixant les catégories d’entreprises et travaux interdits aux enfants et jeunes gens ainsi que l’âge limite auquel s’applique l’interdiction. D’importants efforts ont été faits pour la protection des enfants et le respect de leurs droits, depuis l’adoption politique du plan Cadre National de Prévention et d’Elimination du travail des enfants (PCN) en novembre 2012. En effet, selon l’enquête nationale sur le travail des enfants, réalisée en 
2005, le nombre d’enfants (3 à 17 ans) économiquement occupés a été estimé à 36,7%. Cet indicateur pourra être renseigné régulièrement dans la prochaine stratégie nationale de 
développement statistique. Toutefois les actions déclinées ci-après permettent aussi à la réalisation de la cible : la création des conditions d’appropriation nationale de la lutte contre le travail des 
enfants ; la lutte, en priorité, contre les pires formes de travail des Enfants ; le renforcement et l’application du cadre juridique ; le renforcement des capacités d’intervention des mécanismes institutionnels de coordination. Défendre les droits des travailleurs, promouvoir la sécurité sur le lieu de travail et assurer la 
protection de tous les travailleurs, y compris les migrants, en particulier les femmes, et ceux qui ont un emploi précaire.Le Gouvernement a pris des dispositions dans la SNPS pour un plus grand respect au niveau national des droits du travail (liberté d’association et droit de négociation collective), eu égard aux textes de l’Organisation internationale du Travail (OIT). De plus, il a été adopté en 2015 une Politique nationale de Santé et Sécurité au Travail (PNSST) qui vise à garantir de meilleurs conditions de vie au travail Ainsi, il est poursuivi le renforcement de la sécurité sociale des 
Travailleurs et des Retraités par l’amélioration du niveau de revenu de certaines catégories de travailleurs et le renforcement du système formel de sécurité sociale et de la gestion des 
prestations.A ce titre, d’importantes actions ont été posées notamment, la mise en place d’un certain nombre 
de cadres de concertation à l’image du Haut Conseil du Dialogue Social (HCDS) et des Commissions administratives paritaire, d’importants résultats ont été obtenus, dont la gestion collective de certaines institutions, l’adoption d’un nouveau Code du Travail et à la signature de l’accord interprofessionnel, sur la retraite à 60 ans dans le secteur privé. En vue de réunir les conditions de stabilité sociale nécessaire à la réussite du PSE, un « Pacte national de stabilité 
sociale et d’émergence économique » a été signé le 15 avril 2014, par les différents partenaires sociaux. Un Conseil d'Orientation Stratégique dudit pacte a été installé. 

D’ici à 2030, élaborer et mettre en œuvre des politiques visant à développer un tourisme durable qui crée des emplois et met en valeur la culture et les produits locaux. Cette cible est poursuivie dans le plan stratégique du développement du tourisme durable (PSDT) et la Lettre de Politique Sectorielle de la culture (LPS 2017-2021). De façon spécifique, les actions suivantes contribuent à la réalisation de la cible : (i) le
développement de nouvelles zones
touristiques intégrées et du
micro-tourisme, et l’amélioration de la qualité de l'offre touristique ; (ii) la promotion de l’économie créative et culturelle à travers le renforcement du
soutien aux entreprises culturelles. Les deux indicateurs proposés ne sont pas renseignés dans le cadre national de suivi des politiques publiques. La disponibilité des comptes satellites du tourisme dont les travaux sont en cours,permettra de les déterminer. Cependant, l’un est approché par les recettes générées par le tourisme. En effet, le secteur du tourisme est devenu la deuxième activité pourvoyeur de devise après la pêche. En 2017, les recettes générées par l’activité touristique sénégalaise sont estimées à 482 milliards de FCFA contre 430 milliards de FCFA en 2016, soit une augmentation de 12% contre 358,1 milliards de FCFA en 2015. Cette évolution se justifie par la volonté des pouvoirs publics à redynamiser le secteur à travers les réformes prises en vue de réduire la cherté de la « Destination 
Sénégal ». 

Renforcer la capacité des institutions financières nationales de favoriser et généraliser l’accès de tous aux services bancaires et financiers et aux services d’assurance.Cette cible tient compte du secteur des infrastructures et services financiers et est opérationnalisée 
par les objectifs stratégiques suivants :
améliorer l'environnement économique, légal et règlementaire à travers l’amélioration des systèmes d'information et de gestion des Systèmes Financiers Décentralisés (SFD) et le renforcement de la structure financière des SFD ; 
ï‚· faciliter l’accès aux services financiers et non financiers par la mise en Å“uvre d’un programme d’éducation financière des PME et des populations et l’élaboration de la stratégie nationale d’inclusion financière ; l’application effective de l’instruction n°4-6-2014 de la BCEAO relative aux services bancaires offerts à titre gratuit par les 
établissements de crédit ; diversifier et adapter l'offre de produits et services financiers à travers le renforcement de 
l'offre en produits et services financiers, le développement de nouveaux moyens de 
paiement (Transferts d'argent, e-payement) ; et la promotion de la finance islamique.Les indicateurs proposés sont habituellement suivis au niveau national. Ainsi, le nombre de 
succursales de banques commerciales et de distributeurs automatiques de billets pour 100 000 adultes est estimé à 10,13 en 2015 et 10,41 en 2016. La proportion d’adultes (15 ans ou plus) possédant un compte dans une banqueou dans une autre institution financière ou faisant appel à des services monétaires mobiles est ressortie à 76,3% en 2015 et 72,2% en 2016. 

Samba Ndong, Le Républicain Légaliste, Mackyste Convaincu.


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