
« La caisse noire, il faut la revoir. En réalité, la caisse noire est destinée à des situations graves, militaires ou d’évacuations médicales. Mais je ne pense pas qu’elle soit destinée à maintenir des partis politiques ou à les financer », dit-il dans les colonnes de la Rfm.
C’est pourquoi, souligne-t-il, « nous avons travaillé lors de la 12e législature, sur le financement des partis politiques ».
L’ancien parlementaire récuse, même, le terme de « caisse noire », qui selon lui, n’existe pas. « C’est un terme qu’on utilise souvent. Le « noir » voudrait dire que rien n’est contrôlé. Mais, il s’agit de deniers publics. Cela appartient à la population », précise-t-il.
« Il faudra avoir une idée de contrôle pour éviter que des cas pareils ne se reproduisent (ndlr : 4 millions de la Ld », a soutenu l’ancien député dans le journal de midi de la Rfm.
C’est pourquoi, souligne-t-il, « nous avons travaillé lors de la 12e législature, sur le financement des partis politiques ».
L’ancien parlementaire récuse, même, le terme de « caisse noire », qui selon lui, n’existe pas. « C’est un terme qu’on utilise souvent. Le « noir » voudrait dire que rien n’est contrôlé. Mais, il s’agit de deniers publics. Cela appartient à la population », précise-t-il.
« Il faudra avoir une idée de contrôle pour éviter que des cas pareils ne se reproduisent (ndlr : 4 millions de la Ld », a soutenu l’ancien député dans le journal de midi de la Rfm.