Nouveau revers diplomatique pour le Sénégal qui avait placé ses espoirs sur l’ex-ministre de la Santé, Eva Marie Coll Seck pour le poste de directeur exécutif du Fonds des Nations-Unies pour la Population ( FNUAP). La candidature du Pr Eva Marie Coll Seck a été recalée au profit de la Panaméenne Natalia Kanem. Cette dernière était jusque-là , directeur exécutif intérimaire du FNUAP suite au décès prématuré du directeur exécutif, le Nigérian Dr Babatunde Osotimehin.
Auparavant, la Panaméenne occupait le poste de directrice exécutive adjointe au sein de l’organisation. Et pourtant, selon des sources, le chef de l’état sénégalais a apporté son soutien et fait du lobbying afin que le choix soit porté sur son nouveau ministre d’Etat, Pr Eva Marie Coll Seck, dont la compétence et l’intégrité sont de notoriété publique.
Mais, cela n’a pas servi à grand-chose puisqu’elle n’a pas été sélectionnée au dernier tour relatif à la nomination du nouveau directeur exécutif de cette agence directrice de l’ONU, dédiée aux femmes et aux jeunes. Il faut souligner que l’Etat du Sénégal a voulu jouer cette fois-ci la carte de la discrétion.
Surtout que l’échec du Sénégal récemment à Addis-Abeba est toujours dans les esprits, après toute la clameur qui s’en était suivie. Ainsi, force est de constater le déclin du Sénégal sur le plan diplomatique. Cela intervient après, la non élection du Pr Abdoulaye Bathily à la tête de la commission de l’Union africaine en passant par la mise à l’écart du Sénégal au niveau du G5 Sahel, principal organisme sous- régional de lutte contre le terrorisme.
Sans compter le tour joué par la Guinée et la Mauritanie dans la crise gambienne. Le Sénégal n’est pas non plus sorti grand gagnant dans l’affaire de la présidence de la Commission de l’Uemoa, où il se trouve avec le poste symbolique de vice-gouverneur de la Bceao, avec une promesse de restitution de son fauteuil de président de la Commission d’ici quatre ans, c’est-à -dire au prochain sommet.
L’As
Auparavant, la Panaméenne occupait le poste de directrice exécutive adjointe au sein de l’organisation. Et pourtant, selon des sources, le chef de l’état sénégalais a apporté son soutien et fait du lobbying afin que le choix soit porté sur son nouveau ministre d’Etat, Pr Eva Marie Coll Seck, dont la compétence et l’intégrité sont de notoriété publique.
Mais, cela n’a pas servi à grand-chose puisqu’elle n’a pas été sélectionnée au dernier tour relatif à la nomination du nouveau directeur exécutif de cette agence directrice de l’ONU, dédiée aux femmes et aux jeunes. Il faut souligner que l’Etat du Sénégal a voulu jouer cette fois-ci la carte de la discrétion.
Surtout que l’échec du Sénégal récemment à Addis-Abeba est toujours dans les esprits, après toute la clameur qui s’en était suivie. Ainsi, force est de constater le déclin du Sénégal sur le plan diplomatique. Cela intervient après, la non élection du Pr Abdoulaye Bathily à la tête de la commission de l’Union africaine en passant par la mise à l’écart du Sénégal au niveau du G5 Sahel, principal organisme sous- régional de lutte contre le terrorisme.
Sans compter le tour joué par la Guinée et la Mauritanie dans la crise gambienne. Le Sénégal n’est pas non plus sorti grand gagnant dans l’affaire de la présidence de la Commission de l’Uemoa, où il se trouve avec le poste symbolique de vice-gouverneur de la Bceao, avec une promesse de restitution de son fauteuil de président de la Commission d’ici quatre ans, c’est-à -dire au prochain sommet.
L’As