
Tout est partie d'une demande de parole de la Gambienne, refusée par le tout nouveau président en exercice de l'Union africaine. Alpha Condé lui fait comprendre en effet qu'on ne peut débattre à nouveau d'un texte déjà approuvé.
Ce refus du guinéen n'a pas plu à la Gambienne. A en croire notre confrère de Jeune Afrique, Fatumata Jallow Tambajang, oubliant de fermer son micro, lança alors « He is crazy ! » (il est fou) que tous les chefs d’État ont entendu, y compris l’intéressé. »
La source de préciser : « Se rendant compte de sa gaffe, Mme Jallow Tambajang a d’abord tenté d´expliquer qu’elle avait voulu dire « it’s crazy » (c'est fou), avant d’exprimer le souhait de rencontrer le président guinéen pour lui présenter ses excuses. »
Trop tard, le mal est déjà fait. « Qu’elle ne s’avise surtout pas de venir me voir ! », décline Alpha Condé.
Pour rappel, les nouvelles autorités gambiennes ont ne reconnaissent pas les concessions accordées à Yaya Jammeh par les présidents guinéen et mauritanien afin de le convaincre à céder le pouvoir et de s'exiler.
Jean OLOHOU
Ce refus du guinéen n'a pas plu à la Gambienne. A en croire notre confrère de Jeune Afrique, Fatumata Jallow Tambajang, oubliant de fermer son micro, lança alors « He is crazy ! » (il est fou) que tous les chefs d’État ont entendu, y compris l’intéressé. »
La source de préciser : « Se rendant compte de sa gaffe, Mme Jallow Tambajang a d’abord tenté d´expliquer qu’elle avait voulu dire « it’s crazy » (c'est fou), avant d’exprimer le souhait de rencontrer le président guinéen pour lui présenter ses excuses. »
Trop tard, le mal est déjà fait. « Qu’elle ne s’avise surtout pas de venir me voir ! », décline Alpha Condé.
Pour rappel, les nouvelles autorités gambiennes ont ne reconnaissent pas les concessions accordées à Yaya Jammeh par les présidents guinéen et mauritanien afin de le convaincre à céder le pouvoir et de s'exiler.
Jean OLOHOU
