Le Front de résistance de la Diaspora sénégalaise (Frds) a réuni ses membres pour une importante rencontre. Il a été note la présence des membres du bureau, dont la présidente, Fatou Mahine Ndiaye, le Secrétaire Général, Cheikh Ahmed Tidiane Sall et le responsable du Pôle Scientifique et Stratégique, Pape Oumar Sarr.
L’équipe du FRDS comptait aussi Absatou Rassoul et un Journaliste sénégalais connu, qui a été obligé de quitter le Sénégal, pourchassé par le régime de prédation, qui aurait a décidé « d’effacer » ou réduire au silence tout chroniqueur ou journaliste, ayant une voix critique.
Au cours de cette rencontre, ledit front, preuves à l’appui, a exposé des griefs explicites contre des leaders de la Société civile qui prétendent défendre les droits de l’homme et qui s’accommodent bien des exactions et manques de respect des droits humains en cours au Sénégal. “Nous avons alerté surtout sur l’interface d’Amnesty International au Sénégal, que constitue Seydi Gassama et informé sur les accommodations coupables d’un leader comme Alioune Tine. Le journaliste qui était avec nous, a raconté sa mésaventure et les raisons qui l’ont poussé, lui et beaucoup d’autres journalistes ou chroniqueurs, à fuir le Sénégal”, dénonce-t-on.
Ainsi, le front a expliqué le caractère citoyen de ses actions et sa démarche de résistance devant un régime qui semble résolument vouloir mener le Sénégal vers une dictature, en muselant et en menaçant toute personne affichant clairement son désaccord avec le régime du Président Diomaye Faye ou les actions du Premier Ministre Ousmane SONKO.
Gilles NICOLAS, très au fait des évolutions du landerneau politique sénégalais a rassuré qu’il prendra le temps de tout regarder et, a promis de partager sa préoccupation sur cette déclaration du Premier ministre Sonko, disant : « si ça ne tenait qu’à moi, la liberté d’expression serait réduite au strict minimum, car beaucoup de gens qui parlent, devraient raser les murs ».
Après deux heures d’entretien, tout le monde s’est exprimé, tout en promettant que le FRDS n’entend pas s’arrêter à cette offensive. Il continuera de faire ce travail d’alerte partout où besoin sera, pour le retour d’une saine démocratie, et ce, jusqu’à l’arrêt total de la prédation illégale du gouvernement du Premier Ministre, Ousmane Sonko.
Pour le FRDS
La présidente
Fatou Mahine Ndiaye
L’équipe du FRDS comptait aussi Absatou Rassoul et un Journaliste sénégalais connu, qui a été obligé de quitter le Sénégal, pourchassé par le régime de prédation, qui aurait a décidé « d’effacer » ou réduire au silence tout chroniqueur ou journaliste, ayant une voix critique.
Au cours de cette rencontre, ledit front, preuves à l’appui, a exposé des griefs explicites contre des leaders de la Société civile qui prétendent défendre les droits de l’homme et qui s’accommodent bien des exactions et manques de respect des droits humains en cours au Sénégal. “Nous avons alerté surtout sur l’interface d’Amnesty International au Sénégal, que constitue Seydi Gassama et informé sur les accommodations coupables d’un leader comme Alioune Tine. Le journaliste qui était avec nous, a raconté sa mésaventure et les raisons qui l’ont poussé, lui et beaucoup d’autres journalistes ou chroniqueurs, à fuir le Sénégal”, dénonce-t-on.
Ainsi, le front a expliqué le caractère citoyen de ses actions et sa démarche de résistance devant un régime qui semble résolument vouloir mener le Sénégal vers une dictature, en muselant et en menaçant toute personne affichant clairement son désaccord avec le régime du Président Diomaye Faye ou les actions du Premier Ministre Ousmane SONKO.
Gilles NICOLAS, très au fait des évolutions du landerneau politique sénégalais a rassuré qu’il prendra le temps de tout regarder et, a promis de partager sa préoccupation sur cette déclaration du Premier ministre Sonko, disant : « si ça ne tenait qu’à moi, la liberté d’expression serait réduite au strict minimum, car beaucoup de gens qui parlent, devraient raser les murs ».
Après deux heures d’entretien, tout le monde s’est exprimé, tout en promettant que le FRDS n’entend pas s’arrêter à cette offensive. Il continuera de faire ce travail d’alerte partout où besoin sera, pour le retour d’une saine démocratie, et ce, jusqu’à l’arrêt total de la prédation illégale du gouvernement du Premier Ministre, Ousmane Sonko.
Pour le FRDS
La présidente
Fatou Mahine Ndiaye