Les faits réels : deux transferts financiers entre partenaires
Selon les informations exclusives obtenues par Leral, les enquêteurs ont souhaité entendre Aliou Sall pour des vérifications de routine sur deux transferts d’argent :
• 170 millions de francs CFA, versés en deux tranches (150 et 20 millions) par la société SERTEM, via l’homme d’affaires Léopold Ngom ;
• 70 millions de francs CFA, envoyés par Seny Thiam, promoteur immobilier et ancien cadre ayant travaillé près de 40 ans au Gabon avant de revenir investir au Sénégal.
Ces opérations, parfaitement identifiées, ont été effectuées dans un cadre privé et contractuel, sans lien avec une quelconque structure publique.
Un projet foncier aux Almadies
D’après les recoupements de Leral, Aliou Sall avait engagé des démarches pour acquérir un terrain aux Almadies, dans une zone prisée située à proximité de l’ambassade des États-Unis.
Faute de liquidités immédiates, il a sollicité un appui financier temporaire auprès de ses partenaires d’affaires Léopold Ngom et Seny Thiam.
Une fois le terrain acheté puis revendu, l’ancien maire de Guédiawaye a remboursé intégralement les prêts contractés.
Les documents transmis aux autorités prouvent la traçabilité complète de ces transactions.
Une audition d’éclaircissement, pas une mise en cause
Selon nos informations, la convocation d’Aliou Sall visait uniquement à clarifier ces mouvements financiers dans le cadre d’un contrôle administratif.
Aucune plainte, ni mise en examen, ni infraction n’a été relevée.
Un proche du dossier confie à Leral :
« Il s’agissait d’un simple prêt entre amis d’affaires. Aliou Sall a été entendu, il a fourni toutes les preuves et les remboursements ont été confirmés. »
Les précisions des intéressés
Contacté par Leral, un responsable de Sertem explique :
« La transaction concernait un partenariat immobilier, rien d’illégal ni de caché. »
De son côté, Seny Thiam confirme :
« J’ai simplement prêté de l’argent à un ami pour l’aider à acheter un terrain. Il m’a tout remboursé après la revente. »
Ces versions concordent et sont étayées par des justificatifs transmis aux enquêteurs.
une affaire privée présentée à tort comme un scandale
Les vérifications de Leral.net permettent d’établir que :
• Les montants provenaient de sources privées identifiées ;
• Les prêts ont été remboursés après la revente du terrain aux Almadies ;
• Il n’existe aucune irrégularité ni implication de fonds publics.
En somme, la convocation d’Aliou Sall s’inscrit dans un processus normal de transparence, sans aucune dimension judiciaire lourde.
“C’est une simple vérification administrative, rien de plus”, conclut un proche de l’enquête.
Selon les informations exclusives obtenues par Leral, les enquêteurs ont souhaité entendre Aliou Sall pour des vérifications de routine sur deux transferts d’argent :
• 170 millions de francs CFA, versés en deux tranches (150 et 20 millions) par la société SERTEM, via l’homme d’affaires Léopold Ngom ;
• 70 millions de francs CFA, envoyés par Seny Thiam, promoteur immobilier et ancien cadre ayant travaillé près de 40 ans au Gabon avant de revenir investir au Sénégal.
Ces opérations, parfaitement identifiées, ont été effectuées dans un cadre privé et contractuel, sans lien avec une quelconque structure publique.
Un projet foncier aux Almadies
D’après les recoupements de Leral, Aliou Sall avait engagé des démarches pour acquérir un terrain aux Almadies, dans une zone prisée située à proximité de l’ambassade des États-Unis.
Faute de liquidités immédiates, il a sollicité un appui financier temporaire auprès de ses partenaires d’affaires Léopold Ngom et Seny Thiam.
Une fois le terrain acheté puis revendu, l’ancien maire de Guédiawaye a remboursé intégralement les prêts contractés.
Les documents transmis aux autorités prouvent la traçabilité complète de ces transactions.
Une audition d’éclaircissement, pas une mise en cause
Selon nos informations, la convocation d’Aliou Sall visait uniquement à clarifier ces mouvements financiers dans le cadre d’un contrôle administratif.
Aucune plainte, ni mise en examen, ni infraction n’a été relevée.
Un proche du dossier confie à Leral :
« Il s’agissait d’un simple prêt entre amis d’affaires. Aliou Sall a été entendu, il a fourni toutes les preuves et les remboursements ont été confirmés. »
Les précisions des intéressés
Contacté par Leral, un responsable de Sertem explique :
« La transaction concernait un partenariat immobilier, rien d’illégal ni de caché. »
De son côté, Seny Thiam confirme :
« J’ai simplement prêté de l’argent à un ami pour l’aider à acheter un terrain. Il m’a tout remboursé après la revente. »
Ces versions concordent et sont étayées par des justificatifs transmis aux enquêteurs.
une affaire privée présentée à tort comme un scandale
Les vérifications de Leral.net permettent d’établir que :
• Les montants provenaient de sources privées identifiées ;
• Les prêts ont été remboursés après la revente du terrain aux Almadies ;
• Il n’existe aucune irrégularité ni implication de fonds publics.
En somme, la convocation d’Aliou Sall s’inscrit dans un processus normal de transparence, sans aucune dimension judiciaire lourde.
“C’est une simple vérification administrative, rien de plus”, conclut un proche de l’enquête.