
Fondé en 1985 avec son ami et complice Mansour Seck, son manager et doublon, Mbassou Niang, Daande Leñol est né du désir de porter la tradition musicale du Fouta au-delà des frontières, tout en lui insufflant une touche de modernité. En quatre décennies, Daande Leñol est devenu un symbole de l’identité culturelle peule et un acteur incontournable de la scène musicale sénégalaise et internationale.
Au fil des ans, l’orchestre a mêlé rythmes traditionnels et sonorités contemporaines, explorant le Yéla, le Waango ou encore le Dilléré, tout en s’ouvrant à des instruments modernes et à des influences globales. Il a sillonné l’Afrique de l’Ouest et les grandes scènes du monde, tout en gardant un ancrage fort dans les communautés locales. Cette longévité repose sur une exigence musicale, une fidélité aux racines, mais aussi une capacité à se renouveler. Aujourd’hui, au Fouta, le leitmotiv est le même : si Dieu n’avait pas créé Baba Maal, ils l’auraient téléchargé.
Les festivités des 40 ans ont débuté à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et culmineront par un grand concert au Grand Théâtre national, le 11 Octobre prochain. Elles rendent hommage aux compagnons de route disparus, dont Mansour Seck, et soulignent l’engagement de Baaba Maal pour la culture, l’éducation et le développement local.
Pour lui, cette célébration dépasse la musique : elle incarne une mission sociale et un message d’unité, de transmission et d’espoir pour les générations futures. Introuvable depuis quelques jours, Baba Maal serait en pleine répétition dans la capitale sénégalaise .Et, c’est dire que sans Baba "Bon", la culture pular serait méconnue et tomberait dans l’oubli. Puisant à bonne source, le leader du Dandé Léniol a su de manière courageuse, porter l’héritage en viatique.
Au fil des ans, l’orchestre a mêlé rythmes traditionnels et sonorités contemporaines, explorant le Yéla, le Waango ou encore le Dilléré, tout en s’ouvrant à des instruments modernes et à des influences globales. Il a sillonné l’Afrique de l’Ouest et les grandes scènes du monde, tout en gardant un ancrage fort dans les communautés locales. Cette longévité repose sur une exigence musicale, une fidélité aux racines, mais aussi une capacité à se renouveler. Aujourd’hui, au Fouta, le leitmotiv est le même : si Dieu n’avait pas créé Baba Maal, ils l’auraient téléchargé.
Les festivités des 40 ans ont débuté à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et culmineront par un grand concert au Grand Théâtre national, le 11 Octobre prochain. Elles rendent hommage aux compagnons de route disparus, dont Mansour Seck, et soulignent l’engagement de Baaba Maal pour la culture, l’éducation et le développement local.
Pour lui, cette célébration dépasse la musique : elle incarne une mission sociale et un message d’unité, de transmission et d’espoir pour les générations futures. Introuvable depuis quelques jours, Baba Maal serait en pleine répétition dans la capitale sénégalaise .Et, c’est dire que sans Baba "Bon", la culture pular serait méconnue et tomberait dans l’oubli. Puisant à bonne source, le leader du Dandé Léniol a su de manière courageuse, porter l’héritage en viatique.