La tension est palpable à Médina Ndiathbé (Podor). Des centaines d’habitants ont assiégé la mairie pour exprimer leur opposition à la décision des autorités locales de confier la gestion du forage communautaire à la SDER.
  
Selon le Quotidien EnQuête, les manifestants, arborant brassards rouges et brandissant des bidons vides, ont scandé : « Non à la privatisation de notre eau ! » et « L’eau, c’est la vie, pas un business ».
  
Une démonstration de force pour refuser ce qu’ils qualifient de « confiscation d’un bien communautaire » — une position relayée par EnQuête, source de cette mobilisation.
  
Lassana Dramé, secrétaire général du comité de gestion du forage, rappelle les performances de la gestion locale :
  
« Aucune dette, aucune panne majeure, 5 millions de FCFA d’investissements en panneaux solaires. Nous fonctionnons presque entièrement à l’énergie solaire. Pourquoi changer ce qui marche ? »
  
Les leaders locaux dénoncent le manque de concertation et brandissent la menace d’une nouvelle marche si la décision n’est pas suspendue. Le vieux Mamadou Diallo, figure de la contestation, s’indigne :
  
« C’est imposé d’en haut ! Depuis 2005, nous gérons dans la transparence. La SDER n’est pas la bienvenue. »
  
Les habitants disent avoir déjà saisi l’administration départementale pour obtenir l’annulation du contrat. Pour eux, la bataille ne fait que commencer.
			 Selon le Quotidien EnQuête, les manifestants, arborant brassards rouges et brandissant des bidons vides, ont scandé : « Non à la privatisation de notre eau ! » et « L’eau, c’est la vie, pas un business ».
Une démonstration de force pour refuser ce qu’ils qualifient de « confiscation d’un bien communautaire » — une position relayée par EnQuête, source de cette mobilisation.
Lassana Dramé, secrétaire général du comité de gestion du forage, rappelle les performances de la gestion locale :
« Aucune dette, aucune panne majeure, 5 millions de FCFA d’investissements en panneaux solaires. Nous fonctionnons presque entièrement à l’énergie solaire. Pourquoi changer ce qui marche ? »
Les leaders locaux dénoncent le manque de concertation et brandissent la menace d’une nouvelle marche si la décision n’est pas suspendue. Le vieux Mamadou Diallo, figure de la contestation, s’indigne :
« C’est imposé d’en haut ! Depuis 2005, nous gérons dans la transparence. La SDER n’est pas la bienvenue. »
Les habitants disent avoir déjà saisi l’administration départementale pour obtenir l’annulation du contrat. Pour eux, la bataille ne fait que commencer.








 
					 
		 