L’arrestation du journaliste vedette de la TFM fait suite à une instruction du procureur de la République. Cette décision intervient dans le prolongement d’une vive altercation survenue avec le député — aujourd’hui ministre du Tourisme — Amadou Bâ, lors de l’émission "Jakarlo Bi" diffusée le 4 juillet 2025.
Devant les enquêteurs, Badara Gadiaga a fermement nié les faits qui lui sont reprochés, rejetant toute idée d’offense. « Amadou Bâ m’a attaqué sur un point de vue politique, j’ai répliqué politiquement », a-t-il soutenu.
Concernant l’accusation de propos contraires aux bonnes mœurs, il a précisé avoir simplement employé le mot wolof "Yakatane", en référence à l’affaire Adji Sarr, affirmant n’avoir « rien dit de nouveau ».
Le chroniqueur est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation : discours contraires aux bonnes mœurs, diffusion de fausses nouvelles, offense à une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du président de la République, ainsi que violation des articles 80 alinéa 2, 254, 255 et 257 du Code pénal — ce dernier réprimant la réception de subsides à des fins de propagande compromettant la sécurité publique.
Devant les enquêteurs, Badara Gadiaga a fermement nié les faits qui lui sont reprochés, rejetant toute idée d’offense. « Amadou Bâ m’a attaqué sur un point de vue politique, j’ai répliqué politiquement », a-t-il soutenu.
Concernant l’accusation de propos contraires aux bonnes mœurs, il a précisé avoir simplement employé le mot wolof "Yakatane", en référence à l’affaire Adji Sarr, affirmant n’avoir « rien dit de nouveau ».
Le chroniqueur est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation : discours contraires aux bonnes mœurs, diffusion de fausses nouvelles, offense à une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du président de la République, ainsi que violation des articles 80 alinéa 2, 254, 255 et 257 du Code pénal — ce dernier réprimant la réception de subsides à des fins de propagande compromettant la sécurité publique.







