Selon le professeur Cattaneo »Seules 28 personnes avaient survécu. Lors de l’opération de récupération de l’épave « Melilli 5 » voulue par la présidence du Conseil, en coopération avec le commissaire spécial pour les personnes disparues, Vittorio Piscitelli, la préfecture de Syracuse et le procureur de Catane, des chiffres précis sont disponibles. La phase de récupération des corps, ou plutôt des restes humains de la barge est terminée. L’épave, récupérée par la Marine italienne est pour le moment à quai dans la baie d’Augusta. Les trois premières phases de l’opération ont coûté 9 millions et demi d’euros.«
Lors de cette opération, les pompiers ont découvert des restes humains dans tous les coins du bateau. « L’aspect le plus impressionnant – explique Giuseppe Romano, directeur central de secours et d’incendie d’urgence -.« Ils étaient entassés par 5 personnes au mètre carré dans la cale, en particulier dans les 120 mètres carrés de pont du navire ont été récupéré 102 sacs mortuaires, dans la soute, dans les 54 mètres carrés de la salle des machines, pour la plus grande partie occupée par les moteurs, quelque 73 sacs mortuaires.
Ce travail d’autopsie et d’identification des corps a été rendu possible par les médecins légistes en Italie, sous la coordination du professeur Cristina Cattaneo de l’Université de Milan. « Jusqu’à présent, 267 cadavres ont été examinés: « Mais nous savons déjà que 57 personnes viennent de la région de Tambacounda au Sénégal et nous continuons à faire les prélèvements sur les corps des victimes » explique le professeur Cattaneo.
« Nous pouvons dire que les migrants viennent de différents pays d’Afrique:. l’Ethiopie, l’Erythrée, le Bangladesh, le Soudan, la Somalie, le Mali, la Gambie, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau et la Guinée Conakry, si on se fie au nombre de documents trouvés sur les victimes, il y avait également de nombreux enfants. »
Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), le bateau en provenance d’Afrique transportait au moins 700 personnes.
http://www.dakar-echo.com/57-senegalais-figurent-parmi-les-700-victimes-du-naufrage-en-mediterranee/
Lors de cette opération, les pompiers ont découvert des restes humains dans tous les coins du bateau. « L’aspect le plus impressionnant – explique Giuseppe Romano, directeur central de secours et d’incendie d’urgence -.« Ils étaient entassés par 5 personnes au mètre carré dans la cale, en particulier dans les 120 mètres carrés de pont du navire ont été récupéré 102 sacs mortuaires, dans la soute, dans les 54 mètres carrés de la salle des machines, pour la plus grande partie occupée par les moteurs, quelque 73 sacs mortuaires.
Ce travail d’autopsie et d’identification des corps a été rendu possible par les médecins légistes en Italie, sous la coordination du professeur Cristina Cattaneo de l’Université de Milan. « Jusqu’à présent, 267 cadavres ont été examinés: « Mais nous savons déjà que 57 personnes viennent de la région de Tambacounda au Sénégal et nous continuons à faire les prélèvements sur les corps des victimes » explique le professeur Cattaneo.
« Nous pouvons dire que les migrants viennent de différents pays d’Afrique:. l’Ethiopie, l’Erythrée, le Bangladesh, le Soudan, la Somalie, le Mali, la Gambie, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau et la Guinée Conakry, si on se fie au nombre de documents trouvés sur les victimes, il y avait également de nombreux enfants. »
Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), le bateau en provenance d’Afrique transportait au moins 700 personnes.
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