Invité de l’émission En Vérité sur Radio Sénégal, Cheikh Thioro Mbacké, vice-président de l’Assemblée nationale et figure politique de PASTEF à Touba, a défendu l'idée d’un État dirigé exclusivement par les militants du parti ayant porté le combat depuis ses débuts.
Selon lui, les postes stratégiques doivent revenir à ceux qui ont payé « le prix fort », notamment en termes de liberté ou de carrière, plutôt qu’à des alliés venus tardivement dans la dynamique.
Dans des propos rapportés par rts.sn, Mbacké insiste : « Celui qui a cru au projet dès le départ et l’a défendu jusqu’au bout ne peut pas être mis au même niveau que ceux qui sont restés neutres. »
Il appelle le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko à privilégier les membres de PASTEF pour les nominations aux postes clés de l’État.
Sur le volet judiciaire, Mbacké se montre particulièrement critique. Il accuse certains magistrats d’avoir une hostilité ouverte envers PASTEF, et plaide pour un remaniement profond de la justice sénégalaise.
« La justice ne fait pas son travail. Aujourd’hui, si un militant de PASTEF insulte, il est arrêté, mais ceux qui s’en prennent verbalement à Ousmane Sonko restent libres », dénonce-t-il sur les ondes de rts.sn. Selon lui, cette situation reflète un déséquilibre structurel que seul un nettoyage radical du système judiciaire pourra corriger.
Selon lui, les postes stratégiques doivent revenir à ceux qui ont payé « le prix fort », notamment en termes de liberté ou de carrière, plutôt qu’à des alliés venus tardivement dans la dynamique.
Dans des propos rapportés par rts.sn, Mbacké insiste : « Celui qui a cru au projet dès le départ et l’a défendu jusqu’au bout ne peut pas être mis au même niveau que ceux qui sont restés neutres. »
Il appelle le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko à privilégier les membres de PASTEF pour les nominations aux postes clés de l’État.
Sur le volet judiciaire, Mbacké se montre particulièrement critique. Il accuse certains magistrats d’avoir une hostilité ouverte envers PASTEF, et plaide pour un remaniement profond de la justice sénégalaise.
« La justice ne fait pas son travail. Aujourd’hui, si un militant de PASTEF insulte, il est arrêté, mais ceux qui s’en prennent verbalement à Ousmane Sonko restent libres », dénonce-t-il sur les ondes de rts.sn. Selon lui, cette situation reflète un déséquilibre structurel que seul un nettoyage radical du système judiciaire pourra corriger.