Fidèle à la tradition, Cheikh Mouhamadoul Amine Ibn Serigne Mbacké Madina a visité les grandes cuisines communautaires mobilisées pour la réussite de ce rassemblement religieux, organisé à la suite de la ziarra des fidèles venus du Sénégal et de la diaspora. Les chants de Khassida ont accompagné la journée, créant une atmosphère de ferveur et de fraternité.
L’événement rend hommage aux grandes figures de la communauté mouride, en particulier Cheikh Moustapha Mbacké, symbole de cohésion entre les différentes confessions. Son héritage continue d’inspirer les générations actuelles. Au-delà de sa dimension religieuse, ce Magal est aussi un espace de dialogue intercommunautaire.
Madické Ndiaye, sociologue et porte-parole du Khalife, souligne : « L’événement accueille aussi bien des musulmans que des non-musulmans, preuve du vivre-ensemble qui caractérise notre pays. Il démontre que le Sénégal, majoritairement musulman, est une terre où toutes les communautés vivent en harmonie et en parenté. À travers cette célébration partagée, nous cherchons à renforcer cette fonction sociale et à adresser un message fort au monde : le Sénégal est un exemple de dialogue et de tolérance entre musulmans et non-musulmans. Le Cheikh est un acteur majeur dans cette dynamique. »
La jeunesse a occupé une place centrale dans cette édition. Un appel fort a été lancé à son endroit, comme le souligne Abdoulaye Ndao, coordonnateur du Magal et professeur d’anglais : « Nous appelons la jeunesse à poursuivre son engagement, à promouvoir les valeurs de la communauté mouride et à rester vigilante face aux défis de l’heure. »
Enfin, l’édition a été particulièrement marquée par l’engagement exemplaire des habitants de Randoulène Nord. Leur mobilisation et leur sens de l’organisation ont transformé ce Magal en un moment de foi, de solidarité et de cohésion sociale.
Adama Bayma Niang
L’événement rend hommage aux grandes figures de la communauté mouride, en particulier Cheikh Moustapha Mbacké, symbole de cohésion entre les différentes confessions. Son héritage continue d’inspirer les générations actuelles. Au-delà de sa dimension religieuse, ce Magal est aussi un espace de dialogue intercommunautaire.
Madické Ndiaye, sociologue et porte-parole du Khalife, souligne : « L’événement accueille aussi bien des musulmans que des non-musulmans, preuve du vivre-ensemble qui caractérise notre pays. Il démontre que le Sénégal, majoritairement musulman, est une terre où toutes les communautés vivent en harmonie et en parenté. À travers cette célébration partagée, nous cherchons à renforcer cette fonction sociale et à adresser un message fort au monde : le Sénégal est un exemple de dialogue et de tolérance entre musulmans et non-musulmans. Le Cheikh est un acteur majeur dans cette dynamique. »
La jeunesse a occupé une place centrale dans cette édition. Un appel fort a été lancé à son endroit, comme le souligne Abdoulaye Ndao, coordonnateur du Magal et professeur d’anglais : « Nous appelons la jeunesse à poursuivre son engagement, à promouvoir les valeurs de la communauté mouride et à rester vigilante face aux défis de l’heure. »
Enfin, l’édition a été particulièrement marquée par l’engagement exemplaire des habitants de Randoulène Nord. Leur mobilisation et leur sens de l’organisation ont transformé ce Magal en un moment de foi, de solidarité et de cohésion sociale.
Adama Bayma Niang
