La première phase du programme concerne cinq carrefours stratégiques : le Rond-point Stade Lat Dior, le rond-point EDK, le rond-point Gare routière, le rond-point Shell et le rond-point Stade Maniang Soumaré. Une deuxième phase, prévue en 2026, inclura notamment la Mairie de Ville, la Place des défilés, le rond-point Ecobank, le carrefour du Commissariat central et le rond-point Nguinth. Une troisième phase complètera le programme, avec des sites comme le Rond-point de l’Hôpital régional, l’intersection du Robinet Bagarre, le rond-point Champ de courses et celui de la Station SGF à Hersent.
Cette initiative s’inscrit dans la volonté de moderniser la ville et de garantir la sécurité de tous les usagers de la route. Le maire a lancé un appel à la population pour préserver ces nouvelles installations, déplorant déjà certains accidents causés par des comportements irresponsables d’automobilistes ayant percuté des lampadaires récemment mis en place.
Réaffirmant sa vision d’une ville au service de la vie, Dr. Babacar Diop a insisté sur la nécessité de promouvoir un modèle urbain basé sur le logement digne, la sécurité, les infrastructures éducatives et sanitaires, ainsi que les équipements publics modernes. À ses yeux, il faut tourner le dos à l’économie de la mort — marquée par la drogue, l’alcool, la délinquance et la fraude — qui fragilise la jeunesse et mine l’économie locale.
Le maire est également revenu sur plusieurs projets municipaux en cours : la réhabilitation de la voirie, l’aménagement de la Place de France et de l’Avenue Caen, la rénovation de la Bibliothèque municipale, la construction du Samu municipal, d’un Centre culturel, de la Maison des cultures urbaines, d’une grande salle de cinéma, ainsi que de futurs parkings souterrains pour décongestionner le centre-ville.
Sur le plan social, la municipalité a attribué cette année, 1 089 bourses de formation aux élèves et étudiants thiessois. Une banque alimentaire de riz sera également mise en place à l’Hôtel de Ville, pour soutenir les familles vulnérables et les foyers religieux.
Dans le domaine de la santé, après le lancement de la mutuelle municipale en partenariat avec la SEN-CSU, la Ville signera bientôt une convention avec le Fongip, afin de favoriser l’accès des femmes au financement.
Dr. Babacar Diop a terminé son propos, en rendant hommage à feu Ousmane Ngom, maire de Thiès de 1960 à 1965, saluant son œuvre et sa vision, à une époque où la ville manquait d’infrastructures. Il a souligné que solidarité, entraide et empathie doivent rester les fondations du développement thiessois. « Les États ont des pères fondateurs, mais les villes ont des maires fondateurs. Léopold Sédar Senghor et Ousmane Ngom sont des maires fondateurs», a-t-il conclu.
Adama Bayma Niang
Cette initiative s’inscrit dans la volonté de moderniser la ville et de garantir la sécurité de tous les usagers de la route. Le maire a lancé un appel à la population pour préserver ces nouvelles installations, déplorant déjà certains accidents causés par des comportements irresponsables d’automobilistes ayant percuté des lampadaires récemment mis en place.
Réaffirmant sa vision d’une ville au service de la vie, Dr. Babacar Diop a insisté sur la nécessité de promouvoir un modèle urbain basé sur le logement digne, la sécurité, les infrastructures éducatives et sanitaires, ainsi que les équipements publics modernes. À ses yeux, il faut tourner le dos à l’économie de la mort — marquée par la drogue, l’alcool, la délinquance et la fraude — qui fragilise la jeunesse et mine l’économie locale.
Le maire est également revenu sur plusieurs projets municipaux en cours : la réhabilitation de la voirie, l’aménagement de la Place de France et de l’Avenue Caen, la rénovation de la Bibliothèque municipale, la construction du Samu municipal, d’un Centre culturel, de la Maison des cultures urbaines, d’une grande salle de cinéma, ainsi que de futurs parkings souterrains pour décongestionner le centre-ville.
Sur le plan social, la municipalité a attribué cette année, 1 089 bourses de formation aux élèves et étudiants thiessois. Une banque alimentaire de riz sera également mise en place à l’Hôtel de Ville, pour soutenir les familles vulnérables et les foyers religieux.
Dans le domaine de la santé, après le lancement de la mutuelle municipale en partenariat avec la SEN-CSU, la Ville signera bientôt une convention avec le Fongip, afin de favoriser l’accès des femmes au financement.
Dr. Babacar Diop a terminé son propos, en rendant hommage à feu Ousmane Ngom, maire de Thiès de 1960 à 1965, saluant son œuvre et sa vision, à une époque où la ville manquait d’infrastructures. Il a souligné que solidarité, entraide et empathie doivent rester les fondations du développement thiessois. « Les États ont des pères fondateurs, mais les villes ont des maires fondateurs. Léopold Sédar Senghor et Ousmane Ngom sont des maires fondateurs», a-t-il conclu.
Adama Bayma Niang
